Organisé par le Réseau des Journalistes en faveur de l’Enfant en Centrafrique (REJEC) avec le concours financier du fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), cet atelier permet à une quarantaine de leaders religieux, notamment, catholique, Protestant et Islam.
L’objectif de cet atelier est d’informer et de sensibiliser les leaders religieux à la problématique des pratiques familiales et leur donner des moyens afin d’éduquer la population et leur fidèle.
« Malgré les efforts déployés par le gouvernement avec l’appui des partenaires, la situation sanitaire de notre pays n’est pas satisfaisante au regard du mauvais niveau des indicateurs de l’état de santé comme espérance de vie, les taux de mortalité infantile et maternelle, ainsi que la prévalence des maladies y compris le VIH/SIDA », a relevé le Directeur Général des établissements hospitaliers, le Dr. Antoine Doui.
Il a souligné que « l’accès à un meilleur état de santé doit prendre en compte l’ensemble des déterminants de la santé que sont, entre autres, des services de santé de qualité accessibles à tous surtout aux pauvres, un environnement social et politique favorable à la santé, une responsabilisation plus accrue des individus , des familles et des communautés vis-à-vis de leur santé ».
« Nous avons fait appel aux leaders religieux, parce qu’ils ont une influence très importante parmi la population, il y a un grand pourcentage de populations centrafricaines qui appartiennent à des confessions religieuses, donc les leaders peuvent influencer les personnes avec un grand impact », a justifié le chef de section communication à l’UNICEF, Mme. Brigitte Starr-Merklein.
« Ces leaders religieux disposent d’un potentiel considérable pour contribuer à améliorer les connaissances, les comportements et les pratiques de milliers de familles, de mères et de jeunes filles pour la survie, le développement et la protection de l’enfant dans tout le pays », a-t-elle déclaré.
Il faut rappeler qu’en République Centrafricaine, les indicateurs sociaux de base sont inquiétants, selon le rapport de l’UNICEF sur la situation de l’enfant dans le monde 2009, dont le taux de mortalité infantile et des enfants de moins de 5 ans, respectivement de 113 et 172, sont parmi les plus élevés au monde, 15 % des enfants de moins de 5 ans dorment sous moustiquaires imprégnées, l’allaitement maternel n’est que 23,4 %, en milieu rural seulement 1,6 % des ménages disposent de latrines améliorées, 21, 1 %disposent de latrines ouvertes et 34,9 % n’ayant pas du tout de toilette.
L’objectif de cet atelier est d’informer et de sensibiliser les leaders religieux à la problématique des pratiques familiales et leur donner des moyens afin d’éduquer la population et leur fidèle.
« Malgré les efforts déployés par le gouvernement avec l’appui des partenaires, la situation sanitaire de notre pays n’est pas satisfaisante au regard du mauvais niveau des indicateurs de l’état de santé comme espérance de vie, les taux de mortalité infantile et maternelle, ainsi que la prévalence des maladies y compris le VIH/SIDA », a relevé le Directeur Général des établissements hospitaliers, le Dr. Antoine Doui.
Il a souligné que « l’accès à un meilleur état de santé doit prendre en compte l’ensemble des déterminants de la santé que sont, entre autres, des services de santé de qualité accessibles à tous surtout aux pauvres, un environnement social et politique favorable à la santé, une responsabilisation plus accrue des individus , des familles et des communautés vis-à-vis de leur santé ».
« Nous avons fait appel aux leaders religieux, parce qu’ils ont une influence très importante parmi la population, il y a un grand pourcentage de populations centrafricaines qui appartiennent à des confessions religieuses, donc les leaders peuvent influencer les personnes avec un grand impact », a justifié le chef de section communication à l’UNICEF, Mme. Brigitte Starr-Merklein.
« Ces leaders religieux disposent d’un potentiel considérable pour contribuer à améliorer les connaissances, les comportements et les pratiques de milliers de familles, de mères et de jeunes filles pour la survie, le développement et la protection de l’enfant dans tout le pays », a-t-elle déclaré.
Il faut rappeler qu’en République Centrafricaine, les indicateurs sociaux de base sont inquiétants, selon le rapport de l’UNICEF sur la situation de l’enfant dans le monde 2009, dont le taux de mortalité infantile et des enfants de moins de 5 ans, respectivement de 113 et 172, sont parmi les plus élevés au monde, 15 % des enfants de moins de 5 ans dorment sous moustiquaires imprégnées, l’allaitement maternel n’est que 23,4 %, en milieu rural seulement 1,6 % des ménages disposent de latrines améliorées, 21, 1 %disposent de latrines ouvertes et 34,9 % n’ayant pas du tout de toilette.