Le but recherché de cet atelier d’orientation est d’outiller les professionnels des médias sur les notions élémentaires liées à la prévention, au mode de transmission des différents types d’hépatites, afin que ceux-ci à leur tour puissent mieux sensibiliser la population sur ce fléau qui fait aussi des ravages que le VIH/Sida.
Le Directeur général des épidémies et de lutte contre les maladies virales, Raphaël Mbaîlao a expliqué que les hépatites virales se manifestent par une inflammation du foie, provoquée par plusieurs virus (A, B, C, D, E etc.) qui se transmettent soit par voie féco-orale ou alimentaire pour les virus A et E ; soit par voie sexuelle, sanguine ou d’une femme enceinte infectée à son enfant pour les virus B, C et D.
Il a souligné que pour mieux mobiliser les ressources auprès des partenaires au développement sur cette maladie, l’OMS a sollicité la contribution de toutes les Premières Dames des Etats membres pour cette cause, en faisant des plaidoyers lors de la célébration de la journée internationale de lutte contre les hépatites, commémorée cette année au niveau mondial sur le thème : « Les hépatites ne peuvent plus attendre » et au niveau régional sur le thème : « Les mères ne peuvent plus attendre ».
Selon lui, la prévalence de cette maladie en République Centrafricaine est de 12%, d’où nécessité de mettre en place une stratégie de lutte, afin d’éradiquer cette maladie de santé publique d’ici 2030.
Le Chef de service de lutte contre les IST, VIH/Sida et les hépatites virales, Dr Larissa Mbia Somsé a pour sa part signifié que la lutte contre les hépatites n’était pas aussi coordonnée comme actuellement où le gouvernement veut mettre en place un plan national de lutte contre cette maladie.
Elle a fait savoir que la mise en chantier d’un tel programme permettra au ministère de la Santé, de prévenir la transmission mère/enfant avec l’introduction d’une dose à la naissance du vaccin contre le virus de l’hépatite B.
Il convient de rappeler que la réussite de la stratégie d’éradication des hépatites en Centrafrique dépendra des ressources qu’on aura à mobiliser.
Le Directeur général des épidémies et de lutte contre les maladies virales, Raphaël Mbaîlao a expliqué que les hépatites virales se manifestent par une inflammation du foie, provoquée par plusieurs virus (A, B, C, D, E etc.) qui se transmettent soit par voie féco-orale ou alimentaire pour les virus A et E ; soit par voie sexuelle, sanguine ou d’une femme enceinte infectée à son enfant pour les virus B, C et D.
Il a souligné que pour mieux mobiliser les ressources auprès des partenaires au développement sur cette maladie, l’OMS a sollicité la contribution de toutes les Premières Dames des Etats membres pour cette cause, en faisant des plaidoyers lors de la célébration de la journée internationale de lutte contre les hépatites, commémorée cette année au niveau mondial sur le thème : « Les hépatites ne peuvent plus attendre » et au niveau régional sur le thème : « Les mères ne peuvent plus attendre ».
Selon lui, la prévalence de cette maladie en République Centrafricaine est de 12%, d’où nécessité de mettre en place une stratégie de lutte, afin d’éradiquer cette maladie de santé publique d’ici 2030.
Le Chef de service de lutte contre les IST, VIH/Sida et les hépatites virales, Dr Larissa Mbia Somsé a pour sa part signifié que la lutte contre les hépatites n’était pas aussi coordonnée comme actuellement où le gouvernement veut mettre en place un plan national de lutte contre cette maladie.
Elle a fait savoir que la mise en chantier d’un tel programme permettra au ministère de la Santé, de prévenir la transmission mère/enfant avec l’introduction d’une dose à la naissance du vaccin contre le virus de l’hépatite B.
Il convient de rappeler que la réussite de la stratégie d’éradication des hépatites en Centrafrique dépendra des ressources qu’on aura à mobiliser.
