
Les participants ont également recommandé au gouvernement, de procéder à la relecture de l’arrêté octroyant les indemnités de risque et de suggestion en les revalorisant en hausse et la prise en compte des dispositions de la convention 81 que La République Centrafricaine a ratifié, notamment en ce qui concerne les avantages accordés aux cadres du travail.
Ils ont recommandé au centre régional africain d’administration du travail (CRADAT), d’organiser une prochaine session de formation élargie à tous les Inspecteurs et Contrôleurs du travail et des lois sociales absents au présent atelier. Au Bureau International du Travail (BIT) de poursuivre l’assistance technique auprès de la République Centrafricaine pour le renforcement des capacités desdits inspecteurs et contrôleurs du travail.
En suivant avec intérêt les recommandations formulées pour la suite de formation du capital humain, le chef du département du Travail a rassuré les participants que le gouvernement accordera un réel intérêt à toutes les initiatives qui pourront améliorer la qualité des services publics dans un monde du travail en perpétuelle mutation.
L’une des participants, l’Inspectrice du travail et des lois sociales, Mlle. Maïtiké Bémba, s’est réjouie de cette formation qui est capitale pour la République Centrafricaine et pour les inspecteurs et contrôleurs du travail et des lois sociales.
Elle a souhaité que les recommandations formulées lors de cette formation soient prises en compte pour l’évolution de leur secteur d’activités en République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que l’objectif de cette formation était d’outiller les Inspecteurs du travail de République Centrafricaine dans le contexte du COVID-19, de compétence pertinente en matière de lutte professionnelle de contrôle et de prévention, de préservation d’emploi avec les évolutions de récentes du chômage technique et du télétravail, de renforcer les capacités en dialogue social et déontologie, dont le facilitateur est le directeur général du CRADAT, Arsène-Armand Hien venu de Yaoundé au Cameroun.
Ils ont recommandé au centre régional africain d’administration du travail (CRADAT), d’organiser une prochaine session de formation élargie à tous les Inspecteurs et Contrôleurs du travail et des lois sociales absents au présent atelier. Au Bureau International du Travail (BIT) de poursuivre l’assistance technique auprès de la République Centrafricaine pour le renforcement des capacités desdits inspecteurs et contrôleurs du travail.
En suivant avec intérêt les recommandations formulées pour la suite de formation du capital humain, le chef du département du Travail a rassuré les participants que le gouvernement accordera un réel intérêt à toutes les initiatives qui pourront améliorer la qualité des services publics dans un monde du travail en perpétuelle mutation.
L’une des participants, l’Inspectrice du travail et des lois sociales, Mlle. Maïtiké Bémba, s’est réjouie de cette formation qui est capitale pour la République Centrafricaine et pour les inspecteurs et contrôleurs du travail et des lois sociales.
Elle a souhaité que les recommandations formulées lors de cette formation soient prises en compte pour l’évolution de leur secteur d’activités en République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que l’objectif de cette formation était d’outiller les Inspecteurs du travail de République Centrafricaine dans le contexte du COVID-19, de compétence pertinente en matière de lutte professionnelle de contrôle et de prévention, de préservation d’emploi avec les évolutions de récentes du chômage technique et du télétravail, de renforcer les capacités en dialogue social et déontologie, dont le facilitateur est le directeur général du CRADAT, Arsène-Armand Hien venu de Yaoundé au Cameroun.