Photo d'archives
Le but de cet atelier est de présenter la culture des champignons aux élus de la nation soucieux de réduire la pauvreté dans leurs circonscriptions respectives.
Le président de l’Assemblée nationale, El Hadj Moussa Laurent Ngon-Baba, a expliqué qu’au regard du film documentaire projeté sur la technologie Junçao, il a constaté que la Chine a aidé beaucoup d’Etats, même les Nations-Unies à vulgariser cette technologie au profit de l’humanité.
Il a souligné que jusqu’aujourd’hui en Centrafrique et même dans son village, l’on continue de ramasser des champignons sur du bois pourri dans la forêt.
Il a relevé que l’une des causes de la déforestation en Centrafrique, c’est le déboisement et il considère que l’introduction de cette technologie permettra de lutter contre l’appauvrissement du sol.
« C’est dire que l’introduction de cette nouvelle technologie est appréciée à divers niveaux. Sur le plan environnemental, ça permet de protéger l’environnement. Sur le plan humanitaire, de lutter contre la pauvreté, sur le plan agricole, c’est vraiment la transformation de l’agriculture en passant de la méthode traditionnelle à la culture moderne », a-t-il poursuivi.
Le président de l’Assemblée nationale a fait savoir qu’il est important pour les élus, qui ont besoin d’introduire dans leurs circonscriptions, auprès de leur population, la technologie permettant de lutter contre la pauvreté, de donner des moyens de survie à la population et à la jeunesse.
Il a salué l’excellente relation qui lie les parlements des deux pays et a apprécié à sa juste valeur la générosité du professeur Lin Zhanxi, qui a mis gracieusement sa technologie au profit de l’humanité.
L’Ambassadeur Chen Dong a, quant à lui, indiqué que ce projet qui correspond bel et bien à la réalité centrafricaine permet de faire pousser des champignons une semaine ou 10 jours sur la base des herbes au lieu du bois.
Selon lui, ces herbes peuvent servir aussi d’alimentation du bétail et en conclusion on investit peu et on récolte beaucoup, avec des effets rapides.
Il convient de rappeler que le samedi dernier, le même atelier a été organisé au palais de la Renaissance où les convives avaient droit à la dégustation de ces champignons qui ont fait leur preuve depuis 1986.
Le président de l’Assemblée nationale, El Hadj Moussa Laurent Ngon-Baba, a expliqué qu’au regard du film documentaire projeté sur la technologie Junçao, il a constaté que la Chine a aidé beaucoup d’Etats, même les Nations-Unies à vulgariser cette technologie au profit de l’humanité.
Il a souligné que jusqu’aujourd’hui en Centrafrique et même dans son village, l’on continue de ramasser des champignons sur du bois pourri dans la forêt.
Il a relevé que l’une des causes de la déforestation en Centrafrique, c’est le déboisement et il considère que l’introduction de cette technologie permettra de lutter contre l’appauvrissement du sol.
« C’est dire que l’introduction de cette nouvelle technologie est appréciée à divers niveaux. Sur le plan environnemental, ça permet de protéger l’environnement. Sur le plan humanitaire, de lutter contre la pauvreté, sur le plan agricole, c’est vraiment la transformation de l’agriculture en passant de la méthode traditionnelle à la culture moderne », a-t-il poursuivi.
Le président de l’Assemblée nationale a fait savoir qu’il est important pour les élus, qui ont besoin d’introduire dans leurs circonscriptions, auprès de leur population, la technologie permettant de lutter contre la pauvreté, de donner des moyens de survie à la population et à la jeunesse.
Il a salué l’excellente relation qui lie les parlements des deux pays et a apprécié à sa juste valeur la générosité du professeur Lin Zhanxi, qui a mis gracieusement sa technologie au profit de l’humanité.
L’Ambassadeur Chen Dong a, quant à lui, indiqué que ce projet qui correspond bel et bien à la réalité centrafricaine permet de faire pousser des champignons une semaine ou 10 jours sur la base des herbes au lieu du bois.
Selon lui, ces herbes peuvent servir aussi d’alimentation du bétail et en conclusion on investit peu et on récolte beaucoup, avec des effets rapides.
Il convient de rappeler que le samedi dernier, le même atelier a été organisé au palais de la Renaissance où les convives avaient droit à la dégustation de ces champignons qui ont fait leur preuve depuis 1986.