L’objet de cet accord révisé est d’améliorer l’efficacité et la qualité du partenariat ACP-UE, de garantir sa cohérence avec le nouvel agenda international pour le développement (OMD), d’approfondir la dimension politique du partenariat, et d’élargir le cadre de la coopération à de nouvelles questions importantes de sécurité.
Les dispositions révisées peuvent être regroupées en quatre grands chapitres à savoir la dimension politique et les questions de sécurité ; les stratégies de développement ; la facilité d’investissement ; les procédures de mise en œuvre et de gestion.
Lors de son audition par la commission des Finances, le 4 avril dernier, le ministre d’Etat au Plan, à l’Economie et à la Coopération Internationale, M. Sylvain Maliko avait indiqué qu’une cinquantaine de pays avait déjà ratifié cet accord et que le retard de ratification constituait un obstacle majeur au décaissement du 10ème Fonds Européen pour le Développement (FED) d’un montant de 137 millions d’euros dont notre pays est bénéficiaire.
M. Maliko avait également souligné que dans le cadre de la discussion sur les accords de partenariat économique entre les pays ACP et l’Union Européenne, un point commun d’entente s’est dégagé pour qu’un fonds de compensation soit mis en place pour compenser les pertes sèches dues au désarmement tarifaire des pays ACP.
Par ailleurs, la République Centrafricaine ira aux négociations des APE avec le résultat d’une étude d’impact réel de la perte sèche de son économie, due à l’ouverture de ses frontières aux produits ACP-UE, afin de mieux fixer le montant du fonds de compensation, avait-il ajouté, précisant que la Banque Européenne de Développement (BED) peut demander des garanties, mais l’Etat ne donnera qu’une caution politique.
La garantie peut être donnée à titre d’exemple par le Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (FAGACE).
Les dispositions révisées peuvent être regroupées en quatre grands chapitres à savoir la dimension politique et les questions de sécurité ; les stratégies de développement ; la facilité d’investissement ; les procédures de mise en œuvre et de gestion.
Lors de son audition par la commission des Finances, le 4 avril dernier, le ministre d’Etat au Plan, à l’Economie et à la Coopération Internationale, M. Sylvain Maliko avait indiqué qu’une cinquantaine de pays avait déjà ratifié cet accord et que le retard de ratification constituait un obstacle majeur au décaissement du 10ème Fonds Européen pour le Développement (FED) d’un montant de 137 millions d’euros dont notre pays est bénéficiaire.
M. Maliko avait également souligné que dans le cadre de la discussion sur les accords de partenariat économique entre les pays ACP et l’Union Européenne, un point commun d’entente s’est dégagé pour qu’un fonds de compensation soit mis en place pour compenser les pertes sèches dues au désarmement tarifaire des pays ACP.
Par ailleurs, la République Centrafricaine ira aux négociations des APE avec le résultat d’une étude d’impact réel de la perte sèche de son économie, due à l’ouverture de ses frontières aux produits ACP-UE, afin de mieux fixer le montant du fonds de compensation, avait-il ajouté, précisant que la Banque Européenne de Développement (BED) peut demander des garanties, mais l’Etat ne donnera qu’une caution politique.
La garantie peut être donnée à titre d’exemple par le Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (FAGACE).