Ministre de la Communication et des Média, Porte-parole du Gouvernement
« Leurs persistances dans les violences et violations les exposent aux sanctions prévues dans l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine (APPR-RCA », a ajouté le Porte-parole du gouvernement.
Le communiqué a indiqué que « le gouvernement et les garants de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique se réunissent à l’instant pour prendre des mesures visant à arrêter les combats et organiser l’interposition».
Selon le ministre Kazagui, les garants et les facilitateurs, notamment l’Union africaine, la mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA) et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) avaient déjà publié un communiqué conjoint appelant les deux mouvements à la cessation immédiate des combats.
Il convient de rappeler que lors de la dernière réunion organisée par le gouvernement, ayant mobilisé tous les groupes armés signataires de l’accord, dont le MLCJ et le FPRC, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique avait mis en garde les groupes armés qui ne respecteront pas l’accord politique du 6 février 2019 signé à Bangui.
Rappelons que c’est depuis le dimanche 1er Septembre que les combattants du FPRC de Nouredine Adam et ceux du MLCJ de Gilbert Toumou Déya, tous signataires de l’accord de paix, s’affrontent à Birao, dans l’extrême Nord du pays, occasionnant des pertes en vies humaines et plusieurs déplacés.
Le communiqué a indiqué que « le gouvernement et les garants de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique se réunissent à l’instant pour prendre des mesures visant à arrêter les combats et organiser l’interposition».
Selon le ministre Kazagui, les garants et les facilitateurs, notamment l’Union africaine, la mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA) et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) avaient déjà publié un communiqué conjoint appelant les deux mouvements à la cessation immédiate des combats.
Il convient de rappeler que lors de la dernière réunion organisée par le gouvernement, ayant mobilisé tous les groupes armés signataires de l’accord, dont le MLCJ et le FPRC, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique avait mis en garde les groupes armés qui ne respecteront pas l’accord politique du 6 février 2019 signé à Bangui.
Rappelons que c’est depuis le dimanche 1er Septembre que les combattants du FPRC de Nouredine Adam et ceux du MLCJ de Gilbert Toumou Déya, tous signataires de l’accord de paix, s’affrontent à Birao, dans l’extrême Nord du pays, occasionnant des pertes en vies humaines et plusieurs déplacés.