
Le but de cet atelier, conjointement animé avec le Secrétaire exécutif de la COMIFAC, Raymond Mbitikon, est d’informer les parties prenantes des orientations stratégiques et opérationnelles du plan de Convergence II en vue d’assurer la réussite de sa mise en œuvre en République centrafricaine.
Selon Vincent Kongo, « la version révisée du plan de Convergence, qui succède au précédant Plan de Convergence de la période de 2005 à 2014, a été validée par les ministres des pays membres de la COMIFAC lors d’un conseil extraordinaire le 18 juillet 2014 à Brazzaville au Congo ».
Il a aussi signalé que le Plan de Convergence II « a été structuré suivant l’approche de la gestion axée sur le résultat et comprend six axes prioritaires qui sont : l’harmonisation des politiques forestières et environnementales, la gestion et la valorisation durable des ressources forestières, la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique, la lutte contre les effets du changement climatique et de la désertification, le développement socio-économique multi-acteurs et le financements durables.
Toujours selon lui, ce nouveau Plan de Convergence comprend des valeurs (droit de l’homme, genre, coopération et bonne gouvernance), des hypothèses axées sur les engagements affirmés depuis le sommet de Yaoundé, un cadre stratégique, des cadres de mise en œuvre, et un mécanisme de suivi-évaluation.
Il faut rappeler qu’à l’origine, la COMIFAC, dont la République Centrafricaine est membre, avec neuf autres pays que sont le Burundi, le Cameroun, le Congo Brazza, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la RD Congo, le Rwanda, Saô Tomé et Principe et le Tchad, s’était fixée comme mission l’orientation, l’harmonisation et le suivi des politiques forestières et environnementales en Afrique centrale.
L’adhésion de la République Centrafricaine lui a permis de se doter d’un Code forestier et d’un Code de l’environnement, de mettre sous aménagement la totalité des forêts, d’adhérer au processus de l’APV/FLEGT, d’ériger 11% d son territoire en aires protégées, etc.
Selon Vincent Kongo, « la version révisée du plan de Convergence, qui succède au précédant Plan de Convergence de la période de 2005 à 2014, a été validée par les ministres des pays membres de la COMIFAC lors d’un conseil extraordinaire le 18 juillet 2014 à Brazzaville au Congo ».
Il a aussi signalé que le Plan de Convergence II « a été structuré suivant l’approche de la gestion axée sur le résultat et comprend six axes prioritaires qui sont : l’harmonisation des politiques forestières et environnementales, la gestion et la valorisation durable des ressources forestières, la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique, la lutte contre les effets du changement climatique et de la désertification, le développement socio-économique multi-acteurs et le financements durables.
Toujours selon lui, ce nouveau Plan de Convergence comprend des valeurs (droit de l’homme, genre, coopération et bonne gouvernance), des hypothèses axées sur les engagements affirmés depuis le sommet de Yaoundé, un cadre stratégique, des cadres de mise en œuvre, et un mécanisme de suivi-évaluation.
Il faut rappeler qu’à l’origine, la COMIFAC, dont la République Centrafricaine est membre, avec neuf autres pays que sont le Burundi, le Cameroun, le Congo Brazza, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la RD Congo, le Rwanda, Saô Tomé et Principe et le Tchad, s’était fixée comme mission l’orientation, l’harmonisation et le suivi des politiques forestières et environnementales en Afrique centrale.
L’adhésion de la République Centrafricaine lui a permis de se doter d’un Code forestier et d’un Code de l’environnement, de mettre sous aménagement la totalité des forêts, d’adhérer au processus de l’APV/FLEGT, d’ériger 11% d son territoire en aires protégées, etc.