ACAP : 12 mai 2010 Des Centrafricains de mauvaise foi, de l’intérieur et de l’extérieur, se sont illustrés ces derniers temps par des attaques en règle contre les plus Hauts dirigeants de la République Centrafricaine. La raison invoquée est la volonté exprimée par le Président François Bozizé YANGOUVOUNDA d’organiser , au plus vite les élections générales dans le délai constitutionnel avant l’expiration de son mandat prévu pour le 11 juin 2010.
L’occasion pour un certain Franck Saragba de s’étaler sur le net et dans les colonnes du Globe le visionnaire et du quotidien le Confident en fustigeant la volonté politique du chef de l’Etat qu’il qualifie de « prétexte avancé » pour confisquer durablement le pouvoir.
Avec beaucoup de verve, M .Franck Saragba souligne l’incompétence du régime Bozizé d’organiser les élections pluralistes, ignorant lui-même la mauvaise foi et les tentatives de sabotages de l’opposition délibérément, ce persifleur mesquin va même jusqu’à considérer comme un échec pour le Président François Bozizé Yangouvonda le report de ces élections .
Cette conception exagérée interpelle à juste titre notre réaction face à des propos diffamatoires et gratuits contre le chef de l’Etat, pourtant très scrupuleux sur le respect des valeurs démocratiques et de la Constitution Républicaine.
Il faut rappeler que l’élaboration et la mise en œuvre du processus électoral incombent à la seule CEI, Institution Indépendante des pouvoirs publics, et non au Président de la République. Même si , jusqu’ici, le gouvernement s’est acquitté de la subvention de 3, 5 milliards de francs CFA alors que la communauté internationale traîne encore les pas.
Tout est bien qui finit bien. L’amendement porté à la Constitution du 27 décembre 2004 en ses articles 24 et 50, pour le prolongement des mandats Présidentiel et Parlementaire jusqu’aux prochaines élections générales , a été salué par tous comme la victoire de la sagesse Centrafricaine, n’en déplaise aux mauvaises langues comme celle de Franck Saragba
L’occasion pour un certain Franck Saragba de s’étaler sur le net et dans les colonnes du Globe le visionnaire et du quotidien le Confident en fustigeant la volonté politique du chef de l’Etat qu’il qualifie de « prétexte avancé » pour confisquer durablement le pouvoir.
Avec beaucoup de verve, M .Franck Saragba souligne l’incompétence du régime Bozizé d’organiser les élections pluralistes, ignorant lui-même la mauvaise foi et les tentatives de sabotages de l’opposition délibérément, ce persifleur mesquin va même jusqu’à considérer comme un échec pour le Président François Bozizé Yangouvonda le report de ces élections .
Cette conception exagérée interpelle à juste titre notre réaction face à des propos diffamatoires et gratuits contre le chef de l’Etat, pourtant très scrupuleux sur le respect des valeurs démocratiques et de la Constitution Républicaine.
Il faut rappeler que l’élaboration et la mise en œuvre du processus électoral incombent à la seule CEI, Institution Indépendante des pouvoirs publics, et non au Président de la République. Même si , jusqu’ici, le gouvernement s’est acquitté de la subvention de 3, 5 milliards de francs CFA alors que la communauté internationale traîne encore les pas.
Tout est bien qui finit bien. L’amendement porté à la Constitution du 27 décembre 2004 en ses articles 24 et 50, pour le prolongement des mandats Présidentiel et Parlementaire jusqu’aux prochaines élections générales , a été salué par tous comme la victoire de la sagesse Centrafricaine, n’en déplaise aux mauvaises langues comme celle de Franck Saragba