Le Plaidoyer des sourd muets à travers cette chorégraphie
La Représentante résidente du PNUD, Nathalie Boucly, a expliqué que cette activité permet aux jeunes de s’entretenir directement avec les des agences des Nations-Unies et les ONG sur les mandats, le travail et les opportunités d’engagement pour le stage, pour un recrutement ainsi que les activités en faveur des jeunes.
Elle a indiqué que la thématique de cette année est ancrée dans les objectifs du développement durable qui vise l’accès de tous à une éducation de qualité et les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie.
Selon elle, il est nécessaire d’examiner les mesures dans lesquelles le gouvernement, les agences des Nations-Unies et les organisations œuvrant en faveur de la jeunesse sont en train de réaliser cet objectif.
« Il faut trouver d’autres pistes ainsi que d’autres solutions telles que la formation en entreprenariat, en métier porteur en apprentissage pratique afin de palier à la situation des jeunes qui n’ont pas pu suivre un parcours normal de scolarité », a-t-elle poursuivi, ajoutant que l’éducation est la base et sans base solide, l’avenir des enfants est hypothéqué.
Elle a noté qu’au-delà de ça, les jeunes diplômés doivent apprendre l’entreprenariat et d’autres formations afin de renforcer leur employabilité car le monde change et avec le monde qui bouge, l’éducation technique et professionnelle doit être aussi transformée.
Au nom de ses collègues du PNUD et des Nations-Unies, elle a réitéré leur engagement à appuyer le gouvernement centrafricain dans sa recherche de la réinsertion économique, la cohésion sociale et la justice dans le pays.
Le ministre de l’Enseignement technique, professionnelle et de l’Alphabétisation, souleymane Daouda, a fait l’état des lieux des établissements techniques et professionnels de la République centrafricaine et a rappelé qu’il fallait expliquer à la jeunesse les efforts faits par le gouvernement et les partenaires pour les aider à trouver un emploi et un métier.
Il a reconnu toutefois que des efforts restent à faire afin d’insérer un grand nombre de jeunes dans la société. C’est ce qu’il appelle le défi à relever.
Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Régis-Lionel Dounda a, quant à lui, invité les jeunes présents à parcourir tous les stands et à poser beaucoup de questions pour être informés de ce que font ces agences.
Il convient de rappeler que l’association des jeunes sourds muets a interpelé le gouvernement sur leur condition de vie au cours d’une danse chorégraphique. Ils invitent le gouvernement à respecter ses engagements pris en faveur des handicapés. Ils soulignent qu’ils n’ont qu’un centre de formation qui s’arrête en classe de CM2, qu’ils ne sont pas pris en compte dans la diffusion des informations radiotélévisées…
Elle a indiqué que la thématique de cette année est ancrée dans les objectifs du développement durable qui vise l’accès de tous à une éducation de qualité et les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie.
Selon elle, il est nécessaire d’examiner les mesures dans lesquelles le gouvernement, les agences des Nations-Unies et les organisations œuvrant en faveur de la jeunesse sont en train de réaliser cet objectif.
« Il faut trouver d’autres pistes ainsi que d’autres solutions telles que la formation en entreprenariat, en métier porteur en apprentissage pratique afin de palier à la situation des jeunes qui n’ont pas pu suivre un parcours normal de scolarité », a-t-elle poursuivi, ajoutant que l’éducation est la base et sans base solide, l’avenir des enfants est hypothéqué.
Elle a noté qu’au-delà de ça, les jeunes diplômés doivent apprendre l’entreprenariat et d’autres formations afin de renforcer leur employabilité car le monde change et avec le monde qui bouge, l’éducation technique et professionnelle doit être aussi transformée.
Au nom de ses collègues du PNUD et des Nations-Unies, elle a réitéré leur engagement à appuyer le gouvernement centrafricain dans sa recherche de la réinsertion économique, la cohésion sociale et la justice dans le pays.
Le ministre de l’Enseignement technique, professionnelle et de l’Alphabétisation, souleymane Daouda, a fait l’état des lieux des établissements techniques et professionnels de la République centrafricaine et a rappelé qu’il fallait expliquer à la jeunesse les efforts faits par le gouvernement et les partenaires pour les aider à trouver un emploi et un métier.
Il a reconnu toutefois que des efforts restent à faire afin d’insérer un grand nombre de jeunes dans la société. C’est ce qu’il appelle le défi à relever.
Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Régis-Lionel Dounda a, quant à lui, invité les jeunes présents à parcourir tous les stands et à poser beaucoup de questions pour être informés de ce que font ces agences.
Il convient de rappeler que l’association des jeunes sourds muets a interpelé le gouvernement sur leur condition de vie au cours d’une danse chorégraphique. Ils invitent le gouvernement à respecter ses engagements pris en faveur des handicapés. Ils soulignent qu’ils n’ont qu’un centre de formation qui s’arrête en classe de CM2, qu’ils ne sont pas pris en compte dans la diffusion des informations radiotélévisées…