Le vice-gouverneur, Dieudonné Evoumékou, a constaté que le taux de croissance de l'économie centrafricaine est de 4,2 %, nettement au-dessus de la moyenne mondiale et au-dessus de la moyenne de la sous-région.
« A ce niveau, nous avons pu constater avec satisfaction, il en est de même du secteur bancaire qui se porte bien », a-t-il ajouté.
« Il y a un ralentissement dans le domaine du crédit, à ce niveau il faut faire beaucoup attention à la qualité de contrepartie qu’on a en face », a relevé le vice-gouverneur de la BEAC.
Selon lui, la BEAC est en train de relever les défis concernant, entre autres la croissance, l’industrialisation, les réserves de changes, « et cela va prendre du temps».
A cet effet, il a souligné qu’il faut consolider un certain nombre d’actions qui ont été menées et continuent de l'être.
Dieudonné Evoumékou a conclu que la situation sécuritaire est préoccupante, donc c’est un facteur de ralentissement de la croissance.
Le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, a souligné qu’en Centrafrique, «la situation économique à fin avril 2018 a été marquée par un regain d’activités dans les secteurs agricole, sylvicole minier et commercial suite à un retour progressif de la confiance des agents économiques.
« Cependant, l’activité a été atone dans le secteur secondaire durant la période sous revue, notamment au niveau des industries manufacturières et des sociétés de production d’électricité et d’eau », a poursuivi le membre du gouvernement.
Il convient de noter que c’est chaque trimestre que la Banque des Etats de l’Afrique Centrale contrôle le taux de croissance de chaque pays.
« A ce niveau, nous avons pu constater avec satisfaction, il en est de même du secteur bancaire qui se porte bien », a-t-il ajouté.
« Il y a un ralentissement dans le domaine du crédit, à ce niveau il faut faire beaucoup attention à la qualité de contrepartie qu’on a en face », a relevé le vice-gouverneur de la BEAC.
Selon lui, la BEAC est en train de relever les défis concernant, entre autres la croissance, l’industrialisation, les réserves de changes, « et cela va prendre du temps».
A cet effet, il a souligné qu’il faut consolider un certain nombre d’actions qui ont été menées et continuent de l'être.
Dieudonné Evoumékou a conclu que la situation sécuritaire est préoccupante, donc c’est un facteur de ralentissement de la croissance.
Le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, a souligné qu’en Centrafrique, «la situation économique à fin avril 2018 a été marquée par un regain d’activités dans les secteurs agricole, sylvicole minier et commercial suite à un retour progressif de la confiance des agents économiques.
« Cependant, l’activité a été atone dans le secteur secondaire durant la période sous revue, notamment au niveau des industries manufacturières et des sociétés de production d’électricité et d’eau », a poursuivi le membre du gouvernement.
Il convient de noter que c’est chaque trimestre que la Banque des Etats de l’Afrique Centrale contrôle le taux de croissance de chaque pays.