
L’objet de cette visite est de faire le constat à la presse nationale, des actes de vandalismes perpétrés par la séléka lors des récents événements de Boy-Rabe, situé dans le 4ème arrondissement de Bangui.
Ces biens emportés sont entre autres, des moyens roulants (2 pick-up et 16 motocyclettes), un groupe électrogène d’une capacité de 5 kva, des équipements et matériels informatiques, un kit de connexion internet, une photocopieuse, des meubles, des matelas, une somme de 2.150.000 de fcfa, sans compter des livres et des documents audiovisuels.
Selon, M. Morez Judicaël Mokolé les biens sont estimés à plus de 250 millions de fcfa, et que les auteurs de ces actes de vandalisme devraient être identifiés et sanctionner afin de permettre à la communauté des Bahaïs de poursuivre ses activités socio-économiques dans le pays.
Aux regards de ces actes de vandalisme, il a précisé que le secrétariat national de la Communauté Bahaï compte saisir un cabinet d’avocat pour défendre les intérêts de la Communauté devant la justice centrafricaine.
La communauté Bahaï installé en Centrafrique en 1972, n’a jamais subit de tels préjudices.
Ces biens emportés sont entre autres, des moyens roulants (2 pick-up et 16 motocyclettes), un groupe électrogène d’une capacité de 5 kva, des équipements et matériels informatiques, un kit de connexion internet, une photocopieuse, des meubles, des matelas, une somme de 2.150.000 de fcfa, sans compter des livres et des documents audiovisuels.
Selon, M. Morez Judicaël Mokolé les biens sont estimés à plus de 250 millions de fcfa, et que les auteurs de ces actes de vandalisme devraient être identifiés et sanctionner afin de permettre à la communauté des Bahaïs de poursuivre ses activités socio-économiques dans le pays.
Aux regards de ces actes de vandalisme, il a précisé que le secrétariat national de la Communauté Bahaï compte saisir un cabinet d’avocat pour défendre les intérêts de la Communauté devant la justice centrafricaine.
La communauté Bahaï installé en Centrafrique en 1972, n’a jamais subit de tels préjudices.