Selon le chef d'Etat algérien, l'actuelle crise financière mondiale pourrait entraîner des conséquences d'une exceptionnelle gravité sur les économies fragiles des pays en développement, en particulier sur le continent africain, a rapporté l'agence de presse algérienne APS.
Il est fondamental que la communauté internationale continue d'apporter son soutien pour que les résultats très encourageants enregistrés ces dernières années par les économies africaines en termes de croissance du PIB, de commerce extérieur, d'attraction des Investissements Directs Etrangers ne soient pas remis en cause par la crise, a indiqué le président Bouteflika dans son message.
Selon lui, la première urgence est de penser aux plus vulnérables, ceux pour qui l'Aide Publique au Développement (APD) demeure déterminante pour faire face aux besoins vitaux de leurs populations en matière de santé publique, d'éducation, de réduction de la pauvreté et de mise en place des infrastructures de base et, ainsi, de se rapprocher d'atteindre les Objectifs au Millénaire pour le Développement (OMD) en 2015.
Il est donc essentiel que la crise ne soit pas synonyme de réduction des flux d'APD qui devraient, au contraire, connaître une amélioration, a-t-il dit.
Les pays africains considèrent que l'accroissement de leurs recettes d'exportation représente la meilleure façon de faire face aux exigences de leur développement pour peu que les barrières empêchant l'accès de leurs produits agricoles sur les marchés des pays développés soient levés, a indiqué le président Bouteflika, ajoutant que pour cela il est urgent que les négociations commerciales du cycle de Doha tiennent pleinement compte de cette préoccupation et soient achevées dans les meilleures délais.
Selon le président algérien, une autre urgence concerne les Investissements Directs Etrangers. Il est important que les gouvernements des pays industrialisés incitent leurs investisseurs à ne pas quitter les pays en développement à la faveur de la crise, a-t-il souligné.
Le président algérien souhaite que la crise financière ne serve de prétexte à la remise en question rampante des engagements pris par les pays industrialisés dans le cadre du Protocole de Kyoto sur les émissions de gaz à effet de serre.
Il est établi aujourd'hui que les pays en développement, et de façon singulière les pays africains, seront les premières victimes de la dégradation du climat de la planète, a-t-il dit.
Le président Bouteflika est arrivé vendredi à Doha (Qatar) pour participer à la conférence sur le financement du développement, qui assure le suivi de la mise en oeuvre de la déclaration adoptée à Monterry, au Mexique.
Il est fondamental que la communauté internationale continue d'apporter son soutien pour que les résultats très encourageants enregistrés ces dernières années par les économies africaines en termes de croissance du PIB, de commerce extérieur, d'attraction des Investissements Directs Etrangers ne soient pas remis en cause par la crise, a indiqué le président Bouteflika dans son message.
Selon lui, la première urgence est de penser aux plus vulnérables, ceux pour qui l'Aide Publique au Développement (APD) demeure déterminante pour faire face aux besoins vitaux de leurs populations en matière de santé publique, d'éducation, de réduction de la pauvreté et de mise en place des infrastructures de base et, ainsi, de se rapprocher d'atteindre les Objectifs au Millénaire pour le Développement (OMD) en 2015.
Il est donc essentiel que la crise ne soit pas synonyme de réduction des flux d'APD qui devraient, au contraire, connaître une amélioration, a-t-il dit.
Les pays africains considèrent que l'accroissement de leurs recettes d'exportation représente la meilleure façon de faire face aux exigences de leur développement pour peu que les barrières empêchant l'accès de leurs produits agricoles sur les marchés des pays développés soient levés, a indiqué le président Bouteflika, ajoutant que pour cela il est urgent que les négociations commerciales du cycle de Doha tiennent pleinement compte de cette préoccupation et soient achevées dans les meilleures délais.
Selon le président algérien, une autre urgence concerne les Investissements Directs Etrangers. Il est important que les gouvernements des pays industrialisés incitent leurs investisseurs à ne pas quitter les pays en développement à la faveur de la crise, a-t-il souligné.
Le président algérien souhaite que la crise financière ne serve de prétexte à la remise en question rampante des engagements pris par les pays industrialisés dans le cadre du Protocole de Kyoto sur les émissions de gaz à effet de serre.
Il est établi aujourd'hui que les pays en développement, et de façon singulière les pays africains, seront les premières victimes de la dégradation du climat de la planète, a-t-il dit.
Le président Bouteflika est arrivé vendredi à Doha (Qatar) pour participer à la conférence sur le financement du développement, qui assure le suivi de la mise en oeuvre de la déclaration adoptée à Monterry, au Mexique.