Le Chef de quartier Kangba, du 1er groupement dans le 2ème arrondissement de Bangui, Ambroise Wodo-Bètazo, a expliqué qu’il était important de commémorer cette disparition chaque année pour permettre à la nouvelle génération de connaître l’homme qui a libéré la République centrafricaine du joug du colonialisme.
Il a souligné que Boganda, l’homme que les Centrafricains continuent de pleurer aujourd’hui, était un rassembleur, un panafricaniste, un travailleur et un humaniste.
Il a fait savoir que si le peuple centrafricain avait su mettre en valeur sa vision politique et son idéologie, le pays ne serait pas à la traîne et ne devrait pas connaître les soubresauts politiques et sécuritaires enregistrés aujourd’hui.
M. Wodo-Bètazo a invité ses concitoyens à cultiver la paix, la concorde et l’unité nationale comme prônait l’illustre disparu au moment où il méditait sur notre devise, l’hymne national et les 5 verbes du MESAN (Mouvement sociale pour l’évolution de l’Afrique noire), à savoir loger, nourrir soigner, vêtir, instruire.
Sur la tombe de prosper Kangala, l’un de ses enfants, Claude-Gervais Kangala, a salué l’initiative prise par les autorités centrafricaines d’honorer chaque année la mémoire du président fondateur de la RCA ainsi que celui de ses compagnons, membres du MESAN.
Selon lui, il ne s’agit pas de continuer à faire le deuil, mais de saisir cette occasion pour réfléchir sur les valeurs qu’il nous a léguées afin de tirer les leçons des causes de notre sous-développement, voire du déchirement entre fils et filles d’un même pays.
Il convient de rappeler qu’après le dépôt de gerbe à Bangui, le président Faustin-Archange Touadéra s'est rendu à Bobangui (85 km au sud-ouest de Bangui), ville natale du président Boganda, pour effectuer le même rituel.
Premier président de la République centrafricaine (RCA), fondée le 1er décembre 1958 sur les cendres du territoire français de l’Oubangui-Chari, l'Abbé Barthélemy Boganda est officiellement mort dans un crash d’avion, le 29 mars 1959 au retour d’un meeting électoral à Berbérati (600 km à l’ouest de Bangui).
Il a souligné que Boganda, l’homme que les Centrafricains continuent de pleurer aujourd’hui, était un rassembleur, un panafricaniste, un travailleur et un humaniste.
Il a fait savoir que si le peuple centrafricain avait su mettre en valeur sa vision politique et son idéologie, le pays ne serait pas à la traîne et ne devrait pas connaître les soubresauts politiques et sécuritaires enregistrés aujourd’hui.
M. Wodo-Bètazo a invité ses concitoyens à cultiver la paix, la concorde et l’unité nationale comme prônait l’illustre disparu au moment où il méditait sur notre devise, l’hymne national et les 5 verbes du MESAN (Mouvement sociale pour l’évolution de l’Afrique noire), à savoir loger, nourrir soigner, vêtir, instruire.
Sur la tombe de prosper Kangala, l’un de ses enfants, Claude-Gervais Kangala, a salué l’initiative prise par les autorités centrafricaines d’honorer chaque année la mémoire du président fondateur de la RCA ainsi que celui de ses compagnons, membres du MESAN.
Selon lui, il ne s’agit pas de continuer à faire le deuil, mais de saisir cette occasion pour réfléchir sur les valeurs qu’il nous a léguées afin de tirer les leçons des causes de notre sous-développement, voire du déchirement entre fils et filles d’un même pays.
Il convient de rappeler qu’après le dépôt de gerbe à Bangui, le président Faustin-Archange Touadéra s'est rendu à Bobangui (85 km au sud-ouest de Bangui), ville natale du président Boganda, pour effectuer le même rituel.
Premier président de la République centrafricaine (RCA), fondée le 1er décembre 1958 sur les cendres du territoire français de l’Oubangui-Chari, l'Abbé Barthélemy Boganda est officiellement mort dans un crash d’avion, le 29 mars 1959 au retour d’un meeting électoral à Berbérati (600 km à l’ouest de Bangui).