Le président de la République Faustin Archange Touadéra (archives ACAP)
A la faveur de cette vague de nomination, l’ancien Premier-ministre Simplice Mathieu Sarandji devient ministre d’Etat, conseiller spécial du président Faustin-Archange-Touadéra.
Plusieurs personnalités représentant les groupes armés font également leur entrée au cabinet de la présidence de la République. Il s’agit d’Aboulkassim Algoni (du Mouvement patriotique pour la Centrafrique) nommé au poste de ministre conseiller spécial, tandis qu’André le Gaillard Ringui (du Front démocratique du peuple centrafricain) devient ministre conseiller en matière de l’Education Nationale et qu’Adamou Idriss prend le poste de ministre conseiller en matière de l’Elevage.
Joackim Kokaté (de la milice Anti-balaka) occupera quant à lui les fonctions de conseiller à la présidence de la République.
Le remaniement du cabinet de la présidence de la République intervient au lendemain de celui du cabinet de la primature annoncé le 25 mars dernier.
Cette série de nominations fait suite à l'accord de paix signé par le gouvernement et 14 groupes armés le 6 février dernier. Visant à obtenir un désarmement complet des groupes armés, cet accord engage le président de la République à mettre en place un "gouvernement inclusif".
Plusieurs personnalités représentant les groupes armés font également leur entrée au cabinet de la présidence de la République. Il s’agit d’Aboulkassim Algoni (du Mouvement patriotique pour la Centrafrique) nommé au poste de ministre conseiller spécial, tandis qu’André le Gaillard Ringui (du Front démocratique du peuple centrafricain) devient ministre conseiller en matière de l’Education Nationale et qu’Adamou Idriss prend le poste de ministre conseiller en matière de l’Elevage.
Joackim Kokaté (de la milice Anti-balaka) occupera quant à lui les fonctions de conseiller à la présidence de la République.
Le remaniement du cabinet de la présidence de la République intervient au lendemain de celui du cabinet de la primature annoncé le 25 mars dernier.
Cette série de nominations fait suite à l'accord de paix signé par le gouvernement et 14 groupes armés le 6 février dernier. Visant à obtenir un désarmement complet des groupes armés, cet accord engage le président de la République à mettre en place un "gouvernement inclusif".