
La célébration en différé de la Journée mondiale de la Santé s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la couverture sanitaire en République Centrafricaine. Dans le même sens, une foire est organisée pour mettre en évidence les étapes et le travail que le département de la Santé est en train faire.
Le président Touadéra a souligné que la santé du peuple centrafricain le préoccupe, donc il faut trouver des stratégies afin de réduire de manière sensible les problèmes de santé dans son pays.
« La commune de Pissa est aujourd’hui une commune pilote. Nous avons l’engagement de couvrir l’ensemble du territoire avec la participation de l’ensemble de nos populations afin qu’elles accompagnent le gouvernement dans cette lutte », a poursuivi le Chef de l’Etat.
Le président centrafricain a invité les partenaires techniques et financiers à l’accompagner sur les problématiques de santé et sur l’ensemble du territoire.
Selon le ministre de la Santé et de la Population, Pierre Somsé, pour réaliser la couverture sanitaire universelle, il s’avère nécessaire de mettre en œuvre les dix domaines d’impulsion, notamment l’accès aux services géographiques, aux services de santé, la disponibilité des médicaments et des produits de qualité, la vaccination contre les maladies et la protection contre les épidémies.
« L’élimination du VIH, l’élimination de la tuberculose, l’élimination du paludisme, l’accès à l’eau potable et une alimentation saine et à un environnement sain, l’achèvement par toutes les filles du cycle primaire au minimum, un accouchement assisté par un personnel qualifié et la sécurité », a-t-il ajouté.
Le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Severin Xylander a fait savoir que « la lutte contre le paludisme ne sera pas possible sans la couverture sanitaire universelle, et celle-ci ne sera pas complète en Centrafrique si elle ne couvre pas les interventions contre le paludisme ».
D’après le responsable de l’OMS, la CSU est nécessaire car elle fait de sorte que toutes les personnes quel que soit leur statut social aient accès en tout temps aux services de santé essentiels et de qualité.
« La lutte contre le paludisme pourrait aussi être un véhicule de consolidation de la paix et de réconciliation », a-t-il souligné.
Il convient de noter que lors de cette célébration, le président de la République Faustin-Archange Touadéra et le vice-président du Comité National de la CCPPC Zheng Jianbang ont remis respectivement les clés d’une ambulance et des équipements au Maire de Pissa, Roger Okoapénguia.
Le président Touadéra a souligné que la santé du peuple centrafricain le préoccupe, donc il faut trouver des stratégies afin de réduire de manière sensible les problèmes de santé dans son pays.
« La commune de Pissa est aujourd’hui une commune pilote. Nous avons l’engagement de couvrir l’ensemble du territoire avec la participation de l’ensemble de nos populations afin qu’elles accompagnent le gouvernement dans cette lutte », a poursuivi le Chef de l’Etat.
Le président centrafricain a invité les partenaires techniques et financiers à l’accompagner sur les problématiques de santé et sur l’ensemble du territoire.
Selon le ministre de la Santé et de la Population, Pierre Somsé, pour réaliser la couverture sanitaire universelle, il s’avère nécessaire de mettre en œuvre les dix domaines d’impulsion, notamment l’accès aux services géographiques, aux services de santé, la disponibilité des médicaments et des produits de qualité, la vaccination contre les maladies et la protection contre les épidémies.
« L’élimination du VIH, l’élimination de la tuberculose, l’élimination du paludisme, l’accès à l’eau potable et une alimentation saine et à un environnement sain, l’achèvement par toutes les filles du cycle primaire au minimum, un accouchement assisté par un personnel qualifié et la sécurité », a-t-il ajouté.
Le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Severin Xylander a fait savoir que « la lutte contre le paludisme ne sera pas possible sans la couverture sanitaire universelle, et celle-ci ne sera pas complète en Centrafrique si elle ne couvre pas les interventions contre le paludisme ».
D’après le responsable de l’OMS, la CSU est nécessaire car elle fait de sorte que toutes les personnes quel que soit leur statut social aient accès en tout temps aux services de santé essentiels et de qualité.
« La lutte contre le paludisme pourrait aussi être un véhicule de consolidation de la paix et de réconciliation », a-t-il souligné.
Il convient de noter que lors de cette célébration, le président de la République Faustin-Archange Touadéra et le vice-président du Comité National de la CCPPC Zheng Jianbang ont remis respectivement les clés d’une ambulance et des équipements au Maire de Pissa, Roger Okoapénguia.