POLITIQUE
Le Président Touadéra constatant les kits à remettre aux bénéficiaires
L'objectif de la cérémonie est de fournir aux personnes bénéficiaires du projet, notamment celles ayant accepté de libérer l'enceinte de l'aéroport, des certificats de fin de formation ainsi que des kits d'installation.
Le projet de délocalisation des personnes ayant autrefois occupé différents endroits de l'aéroport Bangui M'Poko pour des tâches de briquetiers, de maraîchers, de commerçants, d'artisans, de vivriers, etc. avait pris corps, d'après le Chef de l'Etat, le 30 mars 2017, par la pose de la première pierre de la clôture du domaine aéroportuaire de Bangui M'Poko.
Seulement, a regretté le président de la République, les travaux ont pris du retard pour les volets sociaux.
Pour l'heure, plus de 3792 personnes sont bénéficiaires du projet. Quelque 500 parmi elles ont pu profiter de formation en mécanique et en conduite automobile, en maçonnerie, en soudure, en plomberie, en couture, en informatique, etc.
D'après le président de la République, l'objectif final est de placer l'aéroport de Bangui M'Poko dans les normes internationales, conformément à la réglementation de l'Organisation de l'aviation civile internationale.
Faustin-Archange Touadéra a annoncé que l'ASECNA (Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar) a octroyé un financement d'environ 15 milliards de francs CFA pour le renouvellement des infrastructures aéroportuaires et l'électricité ainsi que le volet génie-civil de l'aéroport.
Il est à noter que le projet de délocalisation et de réinstallation des personnes résidant naguère sur le site de l'aéroport Bangui M'Poko est accompagné par l'Agence Française de Développement (AFD) et la Banque de Développement des Etats de l'Afrique Centrale (BDEAC).
Pour rappel, au pic de la crise qu'a connue la République centrafricaine, et pour des raisons de sécurité, de nombreux Banguissois (habitants de la capitale centrafricaine, Bangui) s'étaient établies sur le domaine de l'aéroport Bangui M'Poko, transformé en site de déplacés internes.
En octobre 2016, un programme dénommé "Noël à la maison" avait déclenché le processus du retour de ces occupants de l'enclave aéroportuaire à leur lieu de résidence.
Le projet de délocalisation des personnes ayant autrefois occupé différents endroits de l'aéroport Bangui M'Poko pour des tâches de briquetiers, de maraîchers, de commerçants, d'artisans, de vivriers, etc. avait pris corps, d'après le Chef de l'Etat, le 30 mars 2017, par la pose de la première pierre de la clôture du domaine aéroportuaire de Bangui M'Poko.
Seulement, a regretté le président de la République, les travaux ont pris du retard pour les volets sociaux.
Pour l'heure, plus de 3792 personnes sont bénéficiaires du projet. Quelque 500 parmi elles ont pu profiter de formation en mécanique et en conduite automobile, en maçonnerie, en soudure, en plomberie, en couture, en informatique, etc.
D'après le président de la République, l'objectif final est de placer l'aéroport de Bangui M'Poko dans les normes internationales, conformément à la réglementation de l'Organisation de l'aviation civile internationale.
Faustin-Archange Touadéra a annoncé que l'ASECNA (Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar) a octroyé un financement d'environ 15 milliards de francs CFA pour le renouvellement des infrastructures aéroportuaires et l'électricité ainsi que le volet génie-civil de l'aéroport.
Il est à noter que le projet de délocalisation et de réinstallation des personnes résidant naguère sur le site de l'aéroport Bangui M'Poko est accompagné par l'Agence Française de Développement (AFD) et la Banque de Développement des Etats de l'Afrique Centrale (BDEAC).
Pour rappel, au pic de la crise qu'a connue la République centrafricaine, et pour des raisons de sécurité, de nombreux Banguissois (habitants de la capitale centrafricaine, Bangui) s'étaient établies sur le domaine de l'aéroport Bangui M'Poko, transformé en site de déplacés internes.
En octobre 2016, un programme dénommé "Noël à la maison" avait déclenché le processus du retour de ces occupants de l'enclave aéroportuaire à leur lieu de résidence.
