Le Prefet jude Ngayoko
Le préfet Jude Ngayoko a expliqué que si l’on tient compte des rumeurs qui circulent à Obo, on ne peut rien faire, que l’on soit citoyen lambda, travailleurs pour le compte d’une ONG ou autorités locales.
Il a souligné qu’à cause de la sécurité qui règne à Obo et de probables menaces des groupes armés, on ne doit en aucun cas négliger les rumeurs d’où qu’ils viennent. Les autorités civiles et militaires doivent être constamment en alerte.
Il a fait savoir qu’il y a une ancienne rivalité entre les FACA et les hommes de l’UPC. Ce qui fait que les deux forces sont prêtes à en découdre, si on les met face à face.
Selon lui, les éléments de l’UPC ne peuvent venir à Obo à cause de la présence des FACA et des MORBATT même s’ils utilisent comme argument le fait d’aller vulgariser l’accord politique de paix et réconciliation en Centrafrique (APPR), pour se déplacer d’une ville à l’autre.
C’est le cas actuellement à Bambouti où la MUNISCA les somme de quitter la ville en ce sens que sieur Ali Darass ne peut pas déclarer unilatéralement la vulgarisation de l'Accord par ses hommes.
Le lieutenant Alexis Nzapa Ahon Yoro a quant à lui évoqué le jeu du chat et de la souris qui règne entre eux les éléments de l’UPC qui pensent qu’à cause dudit accord, on ne peut rien faire dès lors que l’article 35 de ce accord ne définit pas clairement les types de sanctions que tous contrevenants aux auteurs de violation dudit accord.
Même son de cloche du côté du commandant Abdelsadim Sbay qui estime que la population d’Obo ne collabore pas suffisamment avec eux afin de garantir leur sécurité. Ils ne sont pas en mesure de distinguer un combattant d’un simple citoyen dès lors que pour venir à Obo, les combattants laissent leurs armes à la périphérie de la ville avant d’entre.
Il convient de rappeler que chaque mercredi se tient une réunion de sécurité au cours de laquelle sont conviés naturellement les autorités civiles et militaires, la population des deux communautés qui cohabitent bien à Obo.
Il a souligné qu’à cause de la sécurité qui règne à Obo et de probables menaces des groupes armés, on ne doit en aucun cas négliger les rumeurs d’où qu’ils viennent. Les autorités civiles et militaires doivent être constamment en alerte.
Il a fait savoir qu’il y a une ancienne rivalité entre les FACA et les hommes de l’UPC. Ce qui fait que les deux forces sont prêtes à en découdre, si on les met face à face.
Selon lui, les éléments de l’UPC ne peuvent venir à Obo à cause de la présence des FACA et des MORBATT même s’ils utilisent comme argument le fait d’aller vulgariser l’accord politique de paix et réconciliation en Centrafrique (APPR), pour se déplacer d’une ville à l’autre.
C’est le cas actuellement à Bambouti où la MUNISCA les somme de quitter la ville en ce sens que sieur Ali Darass ne peut pas déclarer unilatéralement la vulgarisation de l'Accord par ses hommes.
Le lieutenant Alexis Nzapa Ahon Yoro a quant à lui évoqué le jeu du chat et de la souris qui règne entre eux les éléments de l’UPC qui pensent qu’à cause dudit accord, on ne peut rien faire dès lors que l’article 35 de ce accord ne définit pas clairement les types de sanctions que tous contrevenants aux auteurs de violation dudit accord.
Même son de cloche du côté du commandant Abdelsadim Sbay qui estime que la population d’Obo ne collabore pas suffisamment avec eux afin de garantir leur sécurité. Ils ne sont pas en mesure de distinguer un combattant d’un simple citoyen dès lors que pour venir à Obo, les combattants laissent leurs armes à la périphérie de la ville avant d’entre.
Il convient de rappeler que chaque mercredi se tient une réunion de sécurité au cours de laquelle sont conviés naturellement les autorités civiles et militaires, la population des deux communautés qui cohabitent bien à Obo.