L’intérêt de cette rencontre est d’Informer les professionnels des médias sur les conclusions de la 12ème réunion du comité exécutif de suivi de l’APPR-RCA.
Dans le cadre de la recherche de la paix, le ministre d’Etat Jean Wilibiro Sako a souligné que certains pays amis ont soutenu de la République Centrafricaine, avec l’initiative du Soudan à Khartoum, des pays de la conférence internationale de la région des grands lacs (CIRGL) et la CEEAC qui sont réunis à Luanda en Angola avec la contribution du gouvernement centrafricain.
« C’est vrai que nous ne pouvions pas obtenir tous les résultats, mais que nous devrions aller point par point pour faire bénéficier l’APPR à toutes les parties prenantes, même si quelques-uns des groupes armés qui avaient participé aux négociations de Khartoum qui avaient signé le 6 février 2019 à Bangui ledit accord se sont retirés, c’est le cas de la coalition pour le changement des compatriotes (CPC », a fait remarquer Jean Wilibiro Sako.
Le Ministre d’Etat a rappelé que certains dissidents des groupes armés qui ont souhaité de déposer les armes ont émis le vœu que le gouvernement s’intéresse à eux afin qu’ils déposent effectivement les armes pour regagner le processus.
S’agissant du dialogue républicain, le chef du département du DDRR a fait savoir que l’APPR a déjà mis en place un cadre de dialogue et de concertation avec les groupes armés et plusieurs acteurs qui ont pris part à la réunion de la 12ème session de CES, donc il y’a une complémentarité entre le dialogue qui se prépare et l’APPR, et les deux ont un même objectif qui est celui d’aller vers la paix en République Centrafricaine.
Par ailleurs, le représentant de l’Union Africaine, Matias Bertino Matondo, a soutenu que l’APPR n’est pas une fin, car, c’est un moyen vers lequel, la paix et la réconciliation convergent. Il a souligné que c’est une dynamique de complémentarité et de continuité entre le dialogue républicain et l’APPR.
Il convient de rappeler que les travaux de négociation de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine se sont déroulés à Khartoum au Soudan où le Président de la République et les 14 groupes armés ont finalisé lesdits travaux par la signature le 6 février 2019 à Bangui.
Dans le cadre de la recherche de la paix, le ministre d’Etat Jean Wilibiro Sako a souligné que certains pays amis ont soutenu de la République Centrafricaine, avec l’initiative du Soudan à Khartoum, des pays de la conférence internationale de la région des grands lacs (CIRGL) et la CEEAC qui sont réunis à Luanda en Angola avec la contribution du gouvernement centrafricain.
« C’est vrai que nous ne pouvions pas obtenir tous les résultats, mais que nous devrions aller point par point pour faire bénéficier l’APPR à toutes les parties prenantes, même si quelques-uns des groupes armés qui avaient participé aux négociations de Khartoum qui avaient signé le 6 février 2019 à Bangui ledit accord se sont retirés, c’est le cas de la coalition pour le changement des compatriotes (CPC », a fait remarquer Jean Wilibiro Sako.
Le Ministre d’Etat a rappelé que certains dissidents des groupes armés qui ont souhaité de déposer les armes ont émis le vœu que le gouvernement s’intéresse à eux afin qu’ils déposent effectivement les armes pour regagner le processus.
S’agissant du dialogue républicain, le chef du département du DDRR a fait savoir que l’APPR a déjà mis en place un cadre de dialogue et de concertation avec les groupes armés et plusieurs acteurs qui ont pris part à la réunion de la 12ème session de CES, donc il y’a une complémentarité entre le dialogue qui se prépare et l’APPR, et les deux ont un même objectif qui est celui d’aller vers la paix en République Centrafricaine.
Par ailleurs, le représentant de l’Union Africaine, Matias Bertino Matondo, a soutenu que l’APPR n’est pas une fin, car, c’est un moyen vers lequel, la paix et la réconciliation convergent. Il a souligné que c’est une dynamique de complémentarité et de continuité entre le dialogue républicain et l’APPR.
Il convient de rappeler que les travaux de négociation de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine se sont déroulés à Khartoum au Soudan où le Président de la République et les 14 groupes armés ont finalisé lesdits travaux par la signature le 6 février 2019 à Bangui.