L’objectif de cette rencontre avec les membres du conseil de l’ordre des Avocats, est d’annoncer la suspension du mouvement de grève des avocats de boycotter les audiences publiques des Cours et Tribunaux.
Le ministre d’Etat chargé de la Justice a relevé que les avocats, depuis plus d’une semaine n’ont pas repris le travail, puisqu’ils estiment qu’il y a un problème de procédure concernant l’interpellation d’un de leur.
Selon le ministre d’Etat Djoubaye Abazène, les échanges entre les acteurs judiciaires, lui ont permis de concilier de part et d’autres le climat de mésentente pour permettre d’avancer, car a-t-il déclaré, cela est son rôle, donc il est en quelle que sorte l’arbitre pour faire débloquer les choses.
« Entant que responsable n°1 de la Justice, notre rôle, est d’encadrer et d’échanger avec tous les secteurs de la Justice, notamment le secteur des avocats. Les avocats ont posé un certain nombre de problèmes. Nous les avions reçus et nous sommes sortis sur une note de satisfaction », a déclaré le ministre de la Justice.
S’agissant de la reprise de travail, le membre du gouvernement a fait savoir qu’il appartient au Bâtonnier de transmettre à la base le résultat des échanges fructueux qui ont eu lieu avec le ministre de la Justice et le Parquet, et c’est la base qui va décider de la reprise du travail.
Me. Emile Bizon a exprimé que les entretiens ont eu lieu dans un esprit de compréhension mutuelle. La rencontre leur ont permis d’exposer au ministre les préoccupations qui ont été à l’origine de leur mouvement et qui va au-delà de la simple arrestation de leur confrère qui a été arrêté et relâché depuis le 9 septembre dernier.
Monsieur Emile Bizon a relevé que le ministre d’Etat et ses collaborateurs ont été attentifs à leurs préoccupations. A cet effet, le membre du gouvernement leur a déclarés avoir pris bonne note et a réaffirmé son engagement à œuvrer pour que le service public de la Justice puisse fonctionner suivant les règles normales.
Le Bâtonnier de l’Ordre des Avocats de Centrafrique a annoncé l’organiser d’un point de presse pour donner la date de suspension de mouvement de grève.
Il convient de signaler que l’avocat en cause a été interpellé pour complicité d’escroquerie, complicité de faux et usage de faux, et usurpation de titre ou de fonction.
Le ministre d’Etat chargé de la Justice a relevé que les avocats, depuis plus d’une semaine n’ont pas repris le travail, puisqu’ils estiment qu’il y a un problème de procédure concernant l’interpellation d’un de leur.
Selon le ministre d’Etat Djoubaye Abazène, les échanges entre les acteurs judiciaires, lui ont permis de concilier de part et d’autres le climat de mésentente pour permettre d’avancer, car a-t-il déclaré, cela est son rôle, donc il est en quelle que sorte l’arbitre pour faire débloquer les choses.
« Entant que responsable n°1 de la Justice, notre rôle, est d’encadrer et d’échanger avec tous les secteurs de la Justice, notamment le secteur des avocats. Les avocats ont posé un certain nombre de problèmes. Nous les avions reçus et nous sommes sortis sur une note de satisfaction », a déclaré le ministre de la Justice.
S’agissant de la reprise de travail, le membre du gouvernement a fait savoir qu’il appartient au Bâtonnier de transmettre à la base le résultat des échanges fructueux qui ont eu lieu avec le ministre de la Justice et le Parquet, et c’est la base qui va décider de la reprise du travail.
Me. Emile Bizon a exprimé que les entretiens ont eu lieu dans un esprit de compréhension mutuelle. La rencontre leur ont permis d’exposer au ministre les préoccupations qui ont été à l’origine de leur mouvement et qui va au-delà de la simple arrestation de leur confrère qui a été arrêté et relâché depuis le 9 septembre dernier.
Monsieur Emile Bizon a relevé que le ministre d’Etat et ses collaborateurs ont été attentifs à leurs préoccupations. A cet effet, le membre du gouvernement leur a déclarés avoir pris bonne note et a réaffirmé son engagement à œuvrer pour que le service public de la Justice puisse fonctionner suivant les règles normales.
Le Bâtonnier de l’Ordre des Avocats de Centrafrique a annoncé l’organiser d’un point de presse pour donner la date de suspension de mouvement de grève.
Il convient de signaler que l’avocat en cause a été interpellé pour complicité d’escroquerie, complicité de faux et usage de faux, et usurpation de titre ou de fonction.