L’enjeu de ce projet est de réfléchir à la restructuration de la chambre d’agriculture pour qu'elle soit plus proche des organisations professionnelles, de mettre en place des chambres régionales d’agriculture qui auront pour mission essentielle la représentation de la totalité de la profession agricole vis-à-vis des pouvoirs publics et d’autres professions dans le cadre d’information.
Le ministre Honoré Féizouré a indiqué que ce projet permettra à la chambre d’agriculture de réaliser la cartographie des acteurs dudit secteur pour mieux connaître leur attente afin d’améliorer sa gouvernance et sa capacité de fournir les services.
Il a rappelé que ce projet va permettre d’engager une nouvelle phase de réforme, mais d’autres contributions seront nécessaires pour parachever le processus, notamment au niveau des infrastructures devant abriter les chambres consulaires.
« L’année 2017 a permis à notre chambre consulaire de sortir de l’anonymat et d’afficher comme une institution du secteur agricole et rural qui porte une ambition pour le développement du monde rural », a rappelé le chef du département de l’Agriculture.
Le Représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Jean-Alexandre Scaglia, a exhorté les acteurs du monde rural à s’approprier cet outil qui leur donne désormais la possibilité de se positionner comme véritables partenaires au développement, capables de donner leur avis sur les différents documents et initiatives dans le domaine agro-pastoral.
Il s’est réjoui de voir son institution associée à cette démarche. Il a souligné que la FAO va continuer de plaider pour que les partenaires techniques et financiers de la République Centrafricaine appuient cet exercice afin de rendre la chambre d’agriculture opérationnelle dans le futur.
Il convient de noter que cet atelier organisé avec le concours financier de la FAO réunit une quarantaine de cadres des départements concernés.
Le ministre Honoré Féizouré a indiqué que ce projet permettra à la chambre d’agriculture de réaliser la cartographie des acteurs dudit secteur pour mieux connaître leur attente afin d’améliorer sa gouvernance et sa capacité de fournir les services.
Il a rappelé que ce projet va permettre d’engager une nouvelle phase de réforme, mais d’autres contributions seront nécessaires pour parachever le processus, notamment au niveau des infrastructures devant abriter les chambres consulaires.
« L’année 2017 a permis à notre chambre consulaire de sortir de l’anonymat et d’afficher comme une institution du secteur agricole et rural qui porte une ambition pour le développement du monde rural », a rappelé le chef du département de l’Agriculture.
Le Représentant de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Jean-Alexandre Scaglia, a exhorté les acteurs du monde rural à s’approprier cet outil qui leur donne désormais la possibilité de se positionner comme véritables partenaires au développement, capables de donner leur avis sur les différents documents et initiatives dans le domaine agro-pastoral.
Il s’est réjoui de voir son institution associée à cette démarche. Il a souligné que la FAO va continuer de plaider pour que les partenaires techniques et financiers de la République Centrafricaine appuient cet exercice afin de rendre la chambre d’agriculture opérationnelle dans le futur.
Il convient de noter que cet atelier organisé avec le concours financier de la FAO réunit une quarantaine de cadres des départements concernés.