Le ministre du Développement rural, Fidèle Gouandjika a précisé que, ce projet vise à appuyer 1154 ménages, soit 5770 personnes des préfectures de l’Ouham, Ouham-Pendé, de la basse-Kotto et de la Nana Gribizi dans les secteurs agropastoraux des activités génératrices de revenues et d’auto-emploi dans les zones post-conflits.
Il faut signaler que, ce projet est financé par le Fonds de Consolidation de la paix à hauteur de 1800.000 dollars Américain et mis en œuvre par l’Organisation des Nations pour l’Alimentation et l’Agriculture(FAO).
Le ministre a exhorté tous les acteurs à s’impliquer pleinement dans la mise en œuvre de ce projet afin que les objectifs prévus puissent être atteints.
La représentante résidente de FAO à Bangui, Mme Rokhaya Daba Fall, a relevé que « plusieurs années de conflits et la crise économique ont fragilisé la République Centrafricaine et mise à rude épreuve son économie et la cohésion sociale ».
« C’est pourquoi, a-t-elle rappelé, le plan prioritaire du Fond de Consolidation de la paix souligne l’importance que revêtent les activités génératrices de revenues dans la dynamisation des communautés affectées par les conflits et surtout, le rôle qu’elles peuvent jouer en tant actrices du développement de la sécurité et de la paix.
Il faut noter que ce projet vient en appui aux activités financées sur le Fonds de Consolidation de la paix pour renforcer les capacités des personnes vulnérables dans les zones de conflits en République Centrafricaine.
Il faut signaler que, ce projet est financé par le Fonds de Consolidation de la paix à hauteur de 1800.000 dollars Américain et mis en œuvre par l’Organisation des Nations pour l’Alimentation et l’Agriculture(FAO).
Le ministre a exhorté tous les acteurs à s’impliquer pleinement dans la mise en œuvre de ce projet afin que les objectifs prévus puissent être atteints.
La représentante résidente de FAO à Bangui, Mme Rokhaya Daba Fall, a relevé que « plusieurs années de conflits et la crise économique ont fragilisé la République Centrafricaine et mise à rude épreuve son économie et la cohésion sociale ».
« C’est pourquoi, a-t-elle rappelé, le plan prioritaire du Fond de Consolidation de la paix souligne l’importance que revêtent les activités génératrices de revenues dans la dynamisation des communautés affectées par les conflits et surtout, le rôle qu’elles peuvent jouer en tant actrices du développement de la sécurité et de la paix.
Il faut noter que ce projet vient en appui aux activités financées sur le Fonds de Consolidation de la paix pour renforcer les capacités des personnes vulnérables dans les zones de conflits en République Centrafricaine.