« Cette rencontre avec le médiateur de la République est un point de départ qui nous permettra de ressortir tous ces points et de voir dans quelle mesure nous pourrons trouver des solutions pour améliorer la qualité de la santé dans notre pays », a indiqué le président du conseil de l’ordre des médecins le Professeur Abdoulaye Sépou.
Il a relevé que « quand on parle de la corruption dans les formations sanitaires, c’est un phénomène général, nous sommes les premiers à nous regrouper pour réfléchir sur la question et voir dans quelle mesure y remédier ».
Selon le Pr. Abdoulaye Sépou, la santé ne concerne pas les autres, nous ne sommes pas épargnés, nous sommes également sujets à venir en urgence dans une formation sanitaire si cela ne marche pas bien, cela concerne tout le monde.
« Nous tenons à ce que la corruption puisse disparaitre dans notre corps, mais il faudrait que nos dirigeants puissent nous écouter », a-t-il souligné.
Le président du conseil de l’ordre des médecins a rappelé que « le corps de la santé est le premier corps dans les différentes catégories professionnelles de la Centrafrique à avoir organisé la journée d’intégrité morale organisée le 29 décembre 2010, à cette occasion nous avons passé au peigne fin tous les maux qui gangrènent la bonne marche dans nos formations sanitaires ».
Il convient de noter que cette rencontre fait suite à la rencontre du médiateur de la République avec les représentants des Organisations Non Gouvernementales qui ont dénoncé le dysfonctionnement dans les formations sanitaires en Centrafrique.
Il a relevé que « quand on parle de la corruption dans les formations sanitaires, c’est un phénomène général, nous sommes les premiers à nous regrouper pour réfléchir sur la question et voir dans quelle mesure y remédier ».
Selon le Pr. Abdoulaye Sépou, la santé ne concerne pas les autres, nous ne sommes pas épargnés, nous sommes également sujets à venir en urgence dans une formation sanitaire si cela ne marche pas bien, cela concerne tout le monde.
« Nous tenons à ce que la corruption puisse disparaitre dans notre corps, mais il faudrait que nos dirigeants puissent nous écouter », a-t-il souligné.
Le président du conseil de l’ordre des médecins a rappelé que « le corps de la santé est le premier corps dans les différentes catégories professionnelles de la Centrafrique à avoir organisé la journée d’intégrité morale organisée le 29 décembre 2010, à cette occasion nous avons passé au peigne fin tous les maux qui gangrènent la bonne marche dans nos formations sanitaires ».
Il convient de noter que cette rencontre fait suite à la rencontre du médiateur de la République avec les représentants des Organisations Non Gouvernementales qui ont dénoncé le dysfonctionnement dans les formations sanitaires en Centrafrique.