« J'ai présenté une proposition d'organiser un nouveau round de négociations en août. Nous espérons que cela réussira, et nous cherchons à obtenir une large participation des mouvements armés ( rebelles) du Darfour », a dit M. Bassolé à la presse à l'issue de sa rencontre avec Ghazi Salah al-Din, négociateur en chef du gouvernement soudanais sur la question du Darfour.
L'équipe de médiation reste en contact permanent avec le chef du Mouvement de libération du Soudan Abdul Wahid Mohammed Nour, l' un des principaux groupes armés du Darfour, a indiqué M. Bassolé, ajoutant que « M. Abdul Wahid refuse toujours de discuter (avec le gouvernement), mais je reste optimiste sur la possibilité d' obtenir sa participation aux négociations ».
Le médiateur commun a souligné l'importance pour les mouvements combattants du Darfour de présenter une position unie, ainsi que l'importance de parvenir à un cessez-le-feu total avant l'ouverture d'un nouveau round de négociations.
À propos de l'exigence du Mouvement pour la justice et l' égalité (JEM) de poursuivre des négociations distinctes entre le gouvernement soudanais et son mouvement, M. Bassolé a indiqué que « nous continuerons de dialoguer avec (le chef du JEM) Khalil Ibrahim pour le convaincre qu'une paix durable ne peut être obtenue qu'avec la participation de tous les mouvements ».
Ghazi Salah al-Din a pour sa part souligné la disposition du gouvernement soudanais à reprendre les négociations avec les mouvements rebelles du Darfour à la date fixée par le médiateur commun.
Bien qu'il cherche à relancer les pourparlers au Darfour, le médiateur commun a rappelé qu'il ne servirait à rien d'ouvrir un nouveau round de discussions si les groupes rebelles du Darfour, désormais plus d'une vingtaine, insistent pour défendre chacun leurs propres revendications sans parvenir à une position unie.
Le JEM, mouvement rebelle du Darfour le plus important en termes de puissance militaire, exige la libération de centaines de ses membres détenus par Khartoum, et l'exclusion d'autres groupes rebelles des négociations à venir.
L'équipe de médiation reste en contact permanent avec le chef du Mouvement de libération du Soudan Abdul Wahid Mohammed Nour, l' un des principaux groupes armés du Darfour, a indiqué M. Bassolé, ajoutant que « M. Abdul Wahid refuse toujours de discuter (avec le gouvernement), mais je reste optimiste sur la possibilité d' obtenir sa participation aux négociations ».
Le médiateur commun a souligné l'importance pour les mouvements combattants du Darfour de présenter une position unie, ainsi que l'importance de parvenir à un cessez-le-feu total avant l'ouverture d'un nouveau round de négociations.
À propos de l'exigence du Mouvement pour la justice et l' égalité (JEM) de poursuivre des négociations distinctes entre le gouvernement soudanais et son mouvement, M. Bassolé a indiqué que « nous continuerons de dialoguer avec (le chef du JEM) Khalil Ibrahim pour le convaincre qu'une paix durable ne peut être obtenue qu'avec la participation de tous les mouvements ».
Ghazi Salah al-Din a pour sa part souligné la disposition du gouvernement soudanais à reprendre les négociations avec les mouvements rebelles du Darfour à la date fixée par le médiateur commun.
Bien qu'il cherche à relancer les pourparlers au Darfour, le médiateur commun a rappelé qu'il ne servirait à rien d'ouvrir un nouveau round de discussions si les groupes rebelles du Darfour, désormais plus d'une vingtaine, insistent pour défendre chacun leurs propres revendications sans parvenir à une position unie.
Le JEM, mouvement rebelle du Darfour le plus important en termes de puissance militaire, exige la libération de centaines de ses membres détenus par Khartoum, et l'exclusion d'autres groupes rebelles des négociations à venir.