S'exprimant lors d'une réunion conjointe mardi à Rabat avec leurs homologues du Parlement marocain, les membres du groupe parlementaire français ont réaffirmé leur soutien à l'initiative marocaine d'autonomie dans les provinces du sud pour parvenir à une solution définitive de la question du Sahara, soulignant que cet appui converge avec la position officielle de la France.
Pour sa part, le président du groupe d'amitié parlementaire maroco-française, M. Abdellah El Bourkadi, a salué, dans une déclaration à la presse à l'issue de cette réunion, le soutien apporté par la France à la demande marocaine d'obtenir le statut avancé dans ses relations avec l'Union européenne (UE).
Il a ajouté que les parlementaires des deux pays s'attelleront à la modernisation et à l'actualisation du cadre législatif en vue d'accompagner le nouveau statut.
De son cô té, le président du groupe d'amitié parlementaire France-Maroc à l'Assemblée nationale française, M. Jean Roatta, a déclaré qu'avec l'obtention de ce nouveau statut, le Maroc a réalisé un pas important dans ses relations avec les pays de l'UE, indiquant que les deux groupes procéderont à la mise en oeuvre de cet accord à travers l'intensification de la coopération et la concertation bilatérale sur les questions d'intérêt commun.
Le statut avancé accordé au Maroc est le fruit des grandes réformes menées par le Maroc aux niveaux politique, économique, social et des droits de l'Homme, a dit M. Roatta.
Les membres des deux groupes ont évoqué lors de cette réunion des questions ayant trait à l'intégrité territoriale du Royaume, au soutien de l'UE aux efforts de développement en cours au Maroc et aux moyens de renforcer la coopération entre la Chambre des Représentants et l'Assemblée nationale française.
Pour sa part, Mme Najima Tai Tai a appelé à faire pression sur l'Algérie pour l'ouverture de ses frontières avec le Maroc, mettant l'accent à cet égard sur les souffrances humaines engendrées par la fermeture des frontières entre les deux pays.
Après avoir appelé à exercer la pression sur Alger la persuader à adhérer aux efforts visant à trouver une solution politique au conflit du Sahara, Mme Tai Tai a plaidé pour la mise en place d'un groupe parlementaire franco-maroco-algérien, qui constituera un espace de dialogue sur cette question.
Pour sa part, M. M'haned Laenser, a affirmé que la réalisation de la sécurité et de la stabilité dans le pourtour méditerranéen est tributaire de l'appui au développement socio-économique notamment dans les pays de la rive sud de la méditerranée, soulignant la nécessité de se focaliser sur le développement local.
Pour sa part, le président du groupe d'amitié parlementaire maroco-française, M. Abdellah El Bourkadi, a salué, dans une déclaration à la presse à l'issue de cette réunion, le soutien apporté par la France à la demande marocaine d'obtenir le statut avancé dans ses relations avec l'Union européenne (UE).
Il a ajouté que les parlementaires des deux pays s'attelleront à la modernisation et à l'actualisation du cadre législatif en vue d'accompagner le nouveau statut.
De son cô té, le président du groupe d'amitié parlementaire France-Maroc à l'Assemblée nationale française, M. Jean Roatta, a déclaré qu'avec l'obtention de ce nouveau statut, le Maroc a réalisé un pas important dans ses relations avec les pays de l'UE, indiquant que les deux groupes procéderont à la mise en oeuvre de cet accord à travers l'intensification de la coopération et la concertation bilatérale sur les questions d'intérêt commun.
Le statut avancé accordé au Maroc est le fruit des grandes réformes menées par le Maroc aux niveaux politique, économique, social et des droits de l'Homme, a dit M. Roatta.
Les membres des deux groupes ont évoqué lors de cette réunion des questions ayant trait à l'intégrité territoriale du Royaume, au soutien de l'UE aux efforts de développement en cours au Maroc et aux moyens de renforcer la coopération entre la Chambre des Représentants et l'Assemblée nationale française.
Pour sa part, Mme Najima Tai Tai a appelé à faire pression sur l'Algérie pour l'ouverture de ses frontières avec le Maroc, mettant l'accent à cet égard sur les souffrances humaines engendrées par la fermeture des frontières entre les deux pays.
Après avoir appelé à exercer la pression sur Alger la persuader à adhérer aux efforts visant à trouver une solution politique au conflit du Sahara, Mme Tai Tai a plaidé pour la mise en place d'un groupe parlementaire franco-maroco-algérien, qui constituera un espace de dialogue sur cette question.
Pour sa part, M. M'haned Laenser, a affirmé que la réalisation de la sécurité et de la stabilité dans le pourtour méditerranéen est tributaire de l'appui au développement socio-économique notamment dans les pays de la rive sud de la méditerranée, soulignant la nécessité de se focaliser sur le développement local.