Le but de cette rencontre avec les professionnels des médias est d’informer l’opinion publique sur les comportements des responsables des Organisations non gouvernementales (ONG) non listées et qui exercent sur le territoire Centrafricain.
Le Ministre de la Sécurité Publique, le général Henri Wanzet Linguissara qui prenait part à cette rencontre a attiré l’attention de la population centrafricaine sur tout ce qui se passe actuellement sur le territoire national, surtout parmi les ONG qui fonctionnent en Centrafrique.
Selon lui, le 26 mars 2021, les éléments de la police sont tombés sur une piste et ont décidé d’approfondir l’enquêté auprès de cette ONG dénommée « AGEH » ou la coordonnatrice serait de nationalité allemande. Cette affaire est assimilée à celle d’un certain Dondï, résidant au km5 qui exerce la même fonction et qui se trouve dans les locaux du camp de Roux.
Le ministre de la Sécurité publique a indiqué que le service de renseignement de son département s’est rendu au domicile de cette dame mais à l’arrivée des enquêteurs, la dame a refusé d’ouvrir.
Madame le Ministre des Affaires Etrangères et des centrafricains de l’étranger Sylvie Baïpo Témon, a quant à elle fait savoir que la République centrafricaine est ouverte pour recevoir tous les partenaires, mais ils doivent travailler conformément au cadre juridique des lois qui régissent le fonctionnement des ONG.
Pour elle, aucune information n’est parvenue au niveau de son département sur cette ONG qui se dit une ONG internationale.
« Il est mieux de suivre la procédure au niveau du département concerné conformément à la loi. Il y’a une procédure pour avoir un agrément soit pour une ONG nationale ou internationale. Le fonctionnement de la mise en œuvre des activités des ONG sur le territoire national ne peuvent se faire sans l’implication des ONG concernées ; car on ne peut pas venir dans un pays et commencer à œuvrer sans se conformer aux instruments juridiques de ce pays », a ajouté le ministre du Plan Félix Moloua.
Il convient de noter que cette conférence à mobiliser six membres du gouvernement, notamment le ministre de la Communication et des Média Porte-parole du gouvernement, le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération internationale, le ministre de la Sécurité publique, le ministre des Affaires Etrangères et des centrafricains de l’Etranger et le ministre des Postes et Télécommunications.
Le Ministre de la Sécurité Publique, le général Henri Wanzet Linguissara qui prenait part à cette rencontre a attiré l’attention de la population centrafricaine sur tout ce qui se passe actuellement sur le territoire national, surtout parmi les ONG qui fonctionnent en Centrafrique.
Selon lui, le 26 mars 2021, les éléments de la police sont tombés sur une piste et ont décidé d’approfondir l’enquêté auprès de cette ONG dénommée « AGEH » ou la coordonnatrice serait de nationalité allemande. Cette affaire est assimilée à celle d’un certain Dondï, résidant au km5 qui exerce la même fonction et qui se trouve dans les locaux du camp de Roux.
Le ministre de la Sécurité publique a indiqué que le service de renseignement de son département s’est rendu au domicile de cette dame mais à l’arrivée des enquêteurs, la dame a refusé d’ouvrir.
Madame le Ministre des Affaires Etrangères et des centrafricains de l’étranger Sylvie Baïpo Témon, a quant à elle fait savoir que la République centrafricaine est ouverte pour recevoir tous les partenaires, mais ils doivent travailler conformément au cadre juridique des lois qui régissent le fonctionnement des ONG.
Pour elle, aucune information n’est parvenue au niveau de son département sur cette ONG qui se dit une ONG internationale.
« Il est mieux de suivre la procédure au niveau du département concerné conformément à la loi. Il y’a une procédure pour avoir un agrément soit pour une ONG nationale ou internationale. Le fonctionnement de la mise en œuvre des activités des ONG sur le territoire national ne peuvent se faire sans l’implication des ONG concernées ; car on ne peut pas venir dans un pays et commencer à œuvrer sans se conformer aux instruments juridiques de ce pays », a ajouté le ministre du Plan Félix Moloua.
Il convient de noter que cette conférence à mobiliser six membres du gouvernement, notamment le ministre de la Communication et des Média Porte-parole du gouvernement, le ministre de l’Economie, du plan et de la coopération internationale, le ministre de la Sécurité publique, le ministre des Affaires Etrangères et des centrafricains de l’Etranger et le ministre des Postes et Télécommunications.