M. Téya a lancé cet appel lors de la clôture d'un atelier destiné à la validation de l’avant-projet de loi portant restructuration des Organisations Professionnelles Agricoles (OPA), dont les travaux ont démarré le 28 août dernier.
Il a expliqué que cet avant projet de loi va offrir un cadre légal, juridique et réglementaire permettant aux producteurs de remplir leur rôle clé dans le processus de développement du secteur agropastoral et rural et contribuer ainsi à la relance économique.
« Cet avant projet de loi est une réponse aux multiples défaillances qui caractérisent les organisations actuelles », a déclaré M. Téya, qui a relevé que « Ces organisations de producteurs pâtissent entre autres dans leur ensemble de défaillances des organes de direction et de gestion, confusion de rôle entre la vocation professionnelle et économique d’un groupement agro-pastoral et la fonction d’une association à caractère socioculturel, l’absence de démocratie dans les décisions, la mauvaise gestion et l’absence de comptabilité transparente, ainsi que l’existence de multiples usagers qui profitent des avantages de ces groupements ».
« Ces dysfonctionnements ont créé un climat de suspicion et provoqué une perte de confiance des producteurs dans leurs groupements, » a-t-il souligné, ajoutant que « le découragement des producteurs a eu un effet sur la production et a provoqué la désaffection des principales cultures de rente et précipitant ainsi la chute des filières » .
Les objectifs de cet atelier étaient de réduire la pauvreté, d’atteindre la sécurité alimentaire, d’accroître les revenus des producteurs afin d’améliorer leurs conditions d’existence et d’apporter une croissance économique soutenue du secteur.
L’appui financier et technique de la coopération française a permis au ministère du Développement Rural d’organiser cet atelier qui a regroupé plus d'une soixantaine de participants venus dudit département, des ONG, des différents secteurs agricoles et pastoraux, lesquels ont, pendant deux jours, peaufiné les différents documents qui guident les réflexions et les concertations en vue d’améliorer et d’enrichir l’avant projet de loi.
Il faut rappeler que les Etats Généraux du développement rural, organisés en décembre 2007, avaient permis à tous les acteurs desdits secteurs de dresser un bilan diagnostic concerté du secteur qui a mis en évidence l’extrême gravité de la crise qui secoue ledit secteur agricole et rural.
Il a expliqué que cet avant projet de loi va offrir un cadre légal, juridique et réglementaire permettant aux producteurs de remplir leur rôle clé dans le processus de développement du secteur agropastoral et rural et contribuer ainsi à la relance économique.
« Cet avant projet de loi est une réponse aux multiples défaillances qui caractérisent les organisations actuelles », a déclaré M. Téya, qui a relevé que « Ces organisations de producteurs pâtissent entre autres dans leur ensemble de défaillances des organes de direction et de gestion, confusion de rôle entre la vocation professionnelle et économique d’un groupement agro-pastoral et la fonction d’une association à caractère socioculturel, l’absence de démocratie dans les décisions, la mauvaise gestion et l’absence de comptabilité transparente, ainsi que l’existence de multiples usagers qui profitent des avantages de ces groupements ».
« Ces dysfonctionnements ont créé un climat de suspicion et provoqué une perte de confiance des producteurs dans leurs groupements, » a-t-il souligné, ajoutant que « le découragement des producteurs a eu un effet sur la production et a provoqué la désaffection des principales cultures de rente et précipitant ainsi la chute des filières » .
Les objectifs de cet atelier étaient de réduire la pauvreté, d’atteindre la sécurité alimentaire, d’accroître les revenus des producteurs afin d’améliorer leurs conditions d’existence et d’apporter une croissance économique soutenue du secteur.
L’appui financier et technique de la coopération française a permis au ministère du Développement Rural d’organiser cet atelier qui a regroupé plus d'une soixantaine de participants venus dudit département, des ONG, des différents secteurs agricoles et pastoraux, lesquels ont, pendant deux jours, peaufiné les différents documents qui guident les réflexions et les concertations en vue d’améliorer et d’enrichir l’avant projet de loi.
Il faut rappeler que les Etats Généraux du développement rural, organisés en décembre 2007, avaient permis à tous les acteurs desdits secteurs de dresser un bilan diagnostic concerté du secteur qui a mis en évidence l’extrême gravité de la crise qui secoue ledit secteur agricole et rural.