Le site de l'usine de Boali II
M. Mboli Fatran a indiqué que le désagrément de longue durée qui résultera de cette initiative sera la conséquence du retrait de l'exploitation de l'usine hydroélectrique de Boali II, construite grâce à la coopération avec l'ex-Yougoslavie et mis en service depuis 1976 sans subir des travaux sérieux de remise à niveau.
L'objectif recherché, à la fin des travaux, d'après M. Mboli Fatran, est d'augmenter la capacité de fourniture du courant électrique par cette usine, qui devra passer de 10 mégawatts à 20 mégawatts. Il s'agit, selon ses explications, de mettre en service la seconde conduite forcée d'eau.
Dans le souci de réduire les désagréments et répondre aux besoins des habitants de la capitale centrafricaine en courant électrique, M. Mboli Fatran a indiqué que la société nationale de production et de distribution de courant électrique se servira de ses centrales thermiques.
Les travaux d'aménagement de Boali II, annoncés par le ministre Mboli Fatran, avaient été lancés par le président Faustin-Archange Touadéra le 15 mars dernier dans la localité de Boali (95 km au nord-ouest Bangui). Il s'agit d'un programme financé par la Banque africaine de développement (BAD) à hauteur de 23 milliards de francs CFA.
Avec cette annonce, des inquiétudes se sont amplifiées au sein de l'opinion et surtout des opérateurs économiques. Sans cet évènement d'arrêt de l'usine de Boali II, les programmes de délestage ne sont guère reluisants. Suivant les secteurs, le courant électrique est fourni en principe de 13 heures à 21 heures, le premier jour, puis de 21 heures à 13 heures, le jour suivant.
Mais, très souvent, ce principe de distribution n'est pas respectée à la lettre, puisque le courant peut être coupé de façon anticipée. Sa fourniture peut également être interrompue pendant des mois si un transformateur est endommagé.
L'objectif recherché, à la fin des travaux, d'après M. Mboli Fatran, est d'augmenter la capacité de fourniture du courant électrique par cette usine, qui devra passer de 10 mégawatts à 20 mégawatts. Il s'agit, selon ses explications, de mettre en service la seconde conduite forcée d'eau.
Dans le souci de réduire les désagréments et répondre aux besoins des habitants de la capitale centrafricaine en courant électrique, M. Mboli Fatran a indiqué que la société nationale de production et de distribution de courant électrique se servira de ses centrales thermiques.
Les travaux d'aménagement de Boali II, annoncés par le ministre Mboli Fatran, avaient été lancés par le président Faustin-Archange Touadéra le 15 mars dernier dans la localité de Boali (95 km au nord-ouest Bangui). Il s'agit d'un programme financé par la Banque africaine de développement (BAD) à hauteur de 23 milliards de francs CFA.
Avec cette annonce, des inquiétudes se sont amplifiées au sein de l'opinion et surtout des opérateurs économiques. Sans cet évènement d'arrêt de l'usine de Boali II, les programmes de délestage ne sont guère reluisants. Suivant les secteurs, le courant électrique est fourni en principe de 13 heures à 21 heures, le premier jour, puis de 21 heures à 13 heures, le jour suivant.
Mais, très souvent, ce principe de distribution n'est pas respectée à la lettre, puisque le courant peut être coupé de façon anticipée. Sa fourniture peut également être interrompue pendant des mois si un transformateur est endommagé.