
L’objectif de cet atelier est de créer un environnement sûr et porteur pour les droits des femmes et des défenseuses des droits humains, des actrices de la consolidation de la paix et de vivre ensemble gage du développement du pays.
Maitre Gbiegba Bruno Hyacinthe a indiqué que ce projet concerne une proposition de loi relatif à la protection des défenseurs et défenseuses de droits de l’Homme, car ceux-ci ont tendance à défendre les autres, mais jamais ne défendent leurs propres intérêts et c’est dans cet optique qu’au niveau du Réseau des défenseurs de l’Afrique Centrale (RDHAC), l’idée a germé.
Selon lui, le Réseau des défenseurs de l’Afrique centrale (REDHAC) couvre 14 pays dont la République Centrafricaine et un texte standard du RDHAC doit être adopté dans chaque pays, relevant que c’est depuis 2015 que leur institution a commencé à plaidoyer auprès des autorités centrafricaines pour que ce texte soit adopté.
L’honorable Séréfeissenet Christiane de Bossangoa2 a estimé que ce projet sera plutôt une proposition de loi initiée par le Forum des femmes qui sera soutenue par l’Assemblée nationale pour son adoption.
Elle a souligné que les sujets abordés pendant cet atelier permettront aux femmes de mieux comprendre le contenu, afin de bien la défendre et améliorera les défis croissants de sécurité causés par les préjudices aux Droits Humains, surtout par la promotion et la protection de celles qui sacrifient leur bien-être.
Rappelons que cet atelier de renforcement de capacité des femmes parlementaires centrafricaines d’une journée a regroupé une vingtaine des femmes parlementaires de Centrafrique.
Maitre Gbiegba Bruno Hyacinthe a indiqué que ce projet concerne une proposition de loi relatif à la protection des défenseurs et défenseuses de droits de l’Homme, car ceux-ci ont tendance à défendre les autres, mais jamais ne défendent leurs propres intérêts et c’est dans cet optique qu’au niveau du Réseau des défenseurs de l’Afrique Centrale (RDHAC), l’idée a germé.
Selon lui, le Réseau des défenseurs de l’Afrique centrale (REDHAC) couvre 14 pays dont la République Centrafricaine et un texte standard du RDHAC doit être adopté dans chaque pays, relevant que c’est depuis 2015 que leur institution a commencé à plaidoyer auprès des autorités centrafricaines pour que ce texte soit adopté.
L’honorable Séréfeissenet Christiane de Bossangoa2 a estimé que ce projet sera plutôt une proposition de loi initiée par le Forum des femmes qui sera soutenue par l’Assemblée nationale pour son adoption.
Elle a souligné que les sujets abordés pendant cet atelier permettront aux femmes de mieux comprendre le contenu, afin de bien la défendre et améliorera les défis croissants de sécurité causés par les préjudices aux Droits Humains, surtout par la promotion et la protection de celles qui sacrifient leur bien-être.
Rappelons que cet atelier de renforcement de capacité des femmes parlementaires centrafricaines d’une journée a regroupé une vingtaine des femmes parlementaires de Centrafrique.