le docteur Bernard Lala lors de l'assemblée générale du comité national de lutte contre le sida en juillet 2006 (photo Vonou/Acap)
Dans sa lettre de démission au Président François Bozizé, M. Lala qualifie de « traitement inique et unique » le fait de n’avoir pas été consulté avant cette mutation.
« Je suis d’autant plus choqué que du fait de ma performance à la tête du département de la Santé depuis deux ans, je ne mérite pas qu’on me traite avec une telle ingratitude, une telle désinvolture, un tel mépris », a-t-il expliqué.
« L’usage dans tous les pays veut que les cadres futurs membres du gouvernement soient consultés avant leur nomination afin d’être pleinement associés à cette décision qui les engage intimement et durablement », ajoute le démissionnaire.
Ancien fonctionnaire de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) admis à faire valoir ses droits à la retraite, le docteur Bernard Lala a été sollicité le 1er février 2006 pour occuper le poste de ministre de la Santé publique et de la population dans le gouvernement du Premier ministre Elie Doté.
« Je suis d’autant plus choqué que du fait de ma performance à la tête du département de la Santé depuis deux ans, je ne mérite pas qu’on me traite avec une telle ingratitude, une telle désinvolture, un tel mépris », a-t-il expliqué.
« L’usage dans tous les pays veut que les cadres futurs membres du gouvernement soient consultés avant leur nomination afin d’être pleinement associés à cette décision qui les engage intimement et durablement », ajoute le démissionnaire.
Ancien fonctionnaire de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) admis à faire valoir ses droits à la retraite, le docteur Bernard Lala a été sollicité le 1er février 2006 pour occuper le poste de ministre de la Santé publique et de la population dans le gouvernement du Premier ministre Elie Doté.