La France n'a pas abandonné la République centrafricaine, elle reste au côté de la Centrafrique et elle restera beaucoup plus cette année 2019 par rapport à l'année dernière, a indiqué M. Chevallier, qui rendait compte de ses entretiens avec les autorités centrafricaines et les représentants des ONG.
« L’objet de cette visite est non seulement de montrer notre relation avec la République Centrafricaine mais aussi de développer, renforcer et de multiplier des projets de soutien à la population, à travers les projets de santé, d’éducation qui permettront le désenclavement du pays en vue de répondre à la demande de la population », a-t-il précisé.
« Je suis le premier responsable du projet à venir très vite après l’accord de Khartoum, au Soudan, pour affirmer le soutien de la France au processus de la paix en mettant en place des projets très concrets et opérationnels au service de la population, y compris dans les zones qui ont été particulièrement affectées », a-t-il souligné, ajoutant que la France va augmenter son budget d’aide à la République Centrafricaine pour 2019.
« Si une partie de la population pense que la France a abandonné la République centrafricaine, alors je réponds la France n’a pas abandonné la Centrafrique et nous le montrons de plusieurs façons d’abord avec l’ensemble des visites officielles à travers la venue du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, le ministre des armées », a rassuré le diplomate européenne.
La visite à Bangui du directeur du centre de crise et de soutien intervient 12 jours après la signature par le gouvernement centrafricain d'un accord de paix avec 14 groupes armés, après 10 jours de négociations à Khartoum, au Soudan, sous l'égide de l'Union africaine.
En visite à Bangui 2 mois plus tôt, la ministre française des Armées, Florence Parly, avait déclaré que la France serait « l'avocate infatigable des initiatives de l'Union africaine et des Nations Unies », ajoutant que « toutes les bonnes volontés doivent s'unir et suivre ces initiatives pour une action forte et cohérente ».
Un mois avant Florence Parly, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian avait annoncé, lors d’un séjour à Bangui, une aide financière de 24 millions d'euros ainsi qu'une livraison d'armes au gouvernement centrafricain.
« La France demeurera vigilante sur l’évolution de la situation et elle conservera une capacité d’intervention avec un très court préavis », avait alors affirmé M. Le Drian.
« L’objet de cette visite est non seulement de montrer notre relation avec la République Centrafricaine mais aussi de développer, renforcer et de multiplier des projets de soutien à la population, à travers les projets de santé, d’éducation qui permettront le désenclavement du pays en vue de répondre à la demande de la population », a-t-il précisé.
« Je suis le premier responsable du projet à venir très vite après l’accord de Khartoum, au Soudan, pour affirmer le soutien de la France au processus de la paix en mettant en place des projets très concrets et opérationnels au service de la population, y compris dans les zones qui ont été particulièrement affectées », a-t-il souligné, ajoutant que la France va augmenter son budget d’aide à la République Centrafricaine pour 2019.
« Si une partie de la population pense que la France a abandonné la République centrafricaine, alors je réponds la France n’a pas abandonné la Centrafrique et nous le montrons de plusieurs façons d’abord avec l’ensemble des visites officielles à travers la venue du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, le ministre des armées », a rassuré le diplomate européenne.
La visite à Bangui du directeur du centre de crise et de soutien intervient 12 jours après la signature par le gouvernement centrafricain d'un accord de paix avec 14 groupes armés, après 10 jours de négociations à Khartoum, au Soudan, sous l'égide de l'Union africaine.
En visite à Bangui 2 mois plus tôt, la ministre française des Armées, Florence Parly, avait déclaré que la France serait « l'avocate infatigable des initiatives de l'Union africaine et des Nations Unies », ajoutant que « toutes les bonnes volontés doivent s'unir et suivre ces initiatives pour une action forte et cohérente ».
Un mois avant Florence Parly, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian avait annoncé, lors d’un séjour à Bangui, une aide financière de 24 millions d'euros ainsi qu'une livraison d'armes au gouvernement centrafricain.
« La France demeurera vigilante sur l’évolution de la situation et elle conservera une capacité d’intervention avec un très court préavis », avait alors affirmé M. Le Drian.