Le but de ce programme est de contribuer à la reconstruction du tissu social, à la réduction des facteurs de vulnérabilité d’ordre sécuritaire, social, économique et administratif.
Pour M. Yves Tanaïse, le programme prend en compte les priorités du 2ème pilier qui porte sur l’assistance humanitaire notamment le renforcement des capacités de la protection et de résilience communautaire dans les zones affectées par les conflits.
Il a fait savoir que l’implication des agents de la Direction régionale des Affaires sociales contribuera à la mobilisation sociale pour la réussite de ce programme.
Le Représentant du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), Mme Kararina Immonen a souligné que les interventions du Pnud dans le cas de ce programme sont basées sur l’impératif de la création communautaire apaisée qui privilégie le dialogue et la solidarité à ce défi.
Selon elle, le PNUD dispensera des formations professionnelles aux groupes marginalisés tels que les femmes, les jeunes et les minorités. Il les impliquera également dans les prises de décisions locales en les mettant en contact avec les mairies.
Elle a justifié que ce programme est une réponse du Pnud aux besoins des communautés pour faire face à cette situation de crise et de conflits récurrents.
"Ce programme, d'une valeur totale de 26 millions de dollars, sera mise en place à Bangui et dans les préfectures de l'Ouham, l'Ouham Pendé, la Nana-Gribizi et la Haute Kotto, situées dans le nord et le centre-est du pays.
Il est à rappeler que ce programme a été conçu par le Pnud en partenariat avec l’Action d’Aide à la Coopération Technique, Economique et au Développement (ACTED), la Mairie de Bangui et celle de Bossangoa.
Pour M. Yves Tanaïse, le programme prend en compte les priorités du 2ème pilier qui porte sur l’assistance humanitaire notamment le renforcement des capacités de la protection et de résilience communautaire dans les zones affectées par les conflits.
Il a fait savoir que l’implication des agents de la Direction régionale des Affaires sociales contribuera à la mobilisation sociale pour la réussite de ce programme.
Le Représentant du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), Mme Kararina Immonen a souligné que les interventions du Pnud dans le cas de ce programme sont basées sur l’impératif de la création communautaire apaisée qui privilégie le dialogue et la solidarité à ce défi.
Selon elle, le PNUD dispensera des formations professionnelles aux groupes marginalisés tels que les femmes, les jeunes et les minorités. Il les impliquera également dans les prises de décisions locales en les mettant en contact avec les mairies.
Elle a justifié que ce programme est une réponse du Pnud aux besoins des communautés pour faire face à cette situation de crise et de conflits récurrents.
"Ce programme, d'une valeur totale de 26 millions de dollars, sera mise en place à Bangui et dans les préfectures de l'Ouham, l'Ouham Pendé, la Nana-Gribizi et la Haute Kotto, situées dans le nord et le centre-est du pays.
Il est à rappeler que ce programme a été conçu par le Pnud en partenariat avec l’Action d’Aide à la Coopération Technique, Economique et au Développement (ACTED), la Mairie de Bangui et celle de Bossangoa.
