Centrafrique/politique :
Selon M. Jean Michel Mandaba, il s’agit d’une affaire de véhicules qui lui avaient été remis, le 7 janvier 2003, pour le compte du président Patassé, par un opérateur économique camerounais, M. Jacob Matamba, nommé consul de la République Centrafricaine auprès de la République de Guinée Equatoriale.
Il a indiqué avoir été poursuivi parce que le président Patassé n’est plus au pouvoir pour lui payer ses véhicules, ajoutant que M. Matamba a même affirmé avoir livré des véhicules à l’armée centrafricaine sous le règne de Patassé, lesquels demeurent non payés.
« j’ai livré des véhicules à l’armée centrafricaine et le président Bozizé a refusé de me les payer, maintenant que tu es là entre nos mains et au Cameroun, il faudra que je recouvre mes créances », aurait déclaré M Matamba le jour de l’arrestation du député de Bamingui.
M. Mandaba a estimé que son arrestation à Douala le 25 août dernier est « un véritable montage politique aux fins de ternir son image de marque », tout en relevant qu’il s’agit des « nostalgies du passé », cautionnées par « ses détracteurs politiques internes » du Mlpc.
Il a déploré le fait qu’un député de la nation soit « kidnappé » à l’étranger, et que les autorités de son pays n’aient pas pu « assumer les devoirs de leur charge, notamment la protection d’un ressortissant centrafricain à l’étranger et nanti d’un passeport diplomatique. »
Selon M. Jean Michel Mandaba, il s’agit d’une affaire de véhicules qui lui avaient été remis, le 7 janvier 2003, pour le compte du président Patassé, par un opérateur économique camerounais, M. Jacob Matamba, nommé consul de la République Centrafricaine auprès de la République de Guinée Equatoriale.
Il a indiqué avoir été poursuivi parce que le président Patassé n’est plus au pouvoir pour lui payer ses véhicules, ajoutant que M. Matamba a même affirmé avoir livré des véhicules à l’armée centrafricaine sous le règne de Patassé, lesquels demeurent non payés.
« j’ai livré des véhicules à l’armée centrafricaine et le président Bozizé a refusé de me les payer, maintenant que tu es là entre nos mains et au Cameroun, il faudra que je recouvre mes créances », aurait déclaré M Matamba le jour de l’arrestation du député de Bamingui.
M. Mandaba a estimé que son arrestation à Douala le 25 août dernier est « un véritable montage politique aux fins de ternir son image de marque », tout en relevant qu’il s’agit des « nostalgies du passé », cautionnées par « ses détracteurs politiques internes » du Mlpc.
Il a déploré le fait qu’un député de la nation soit « kidnappé » à l’étranger, et que les autorités de son pays n’aient pas pu « assumer les devoirs de leur charge, notamment la protection d’un ressortissant centrafricain à l’étranger et nanti d’un passeport diplomatique. »