
le commandant Jean Yves Baba-Kangui, de l'OCRB de Ngouciment
«Leur mission est de lutter contre le banditisme, le braquage et les consommateurs de drogue, a-t-il souligné, ajoutant que cette institution couvre toute l’étendue du territoire national pour la quiétude de toutes les villes et des citoyens », a souligné le commandant Baba-Kangui.
Le champ de compétence de l’antenne de l’OCRB de Ngou-ciment est constituée des quartiers Gbakondja, Ngou-ciment, Amical, Sara dont la question de la sécurité et de la paix préoccupent les autorités politiques et administratives de la République Centrafricaine.
Selon le commandant Baba-Kangui, la police est une force de sécurité intérieure qui a pour mission de protéger la population, au cas où elle est menacée par des Bandits et Brigands armés ; l’une de ses missions est d’aller sur le terrain pour mener des investigations à travers les patrouilles régulières dans les quartiers.
Pour le chef du quartier Moustapha, Agri-David Abakar, la paix, la sécurité, la cohésion sociale et le vivre-ensemble sont dangereusement menacés dans le quartier Moustapha et autres.
« L’heure n’est plus à la une, les autorités sont appelées à faire vite car la population de Moustapha en particulier, celle de Bangui et de l’arrière-pays ne peuvent pas circuler librement et vaquer à leurs occupations quotidiennes », a-t-il ajouté.
Le champ de compétence de l’antenne de l’OCRB de Ngou-ciment est constituée des quartiers Gbakondja, Ngou-ciment, Amical, Sara dont la question de la sécurité et de la paix préoccupent les autorités politiques et administratives de la République Centrafricaine.
Selon le commandant Baba-Kangui, la police est une force de sécurité intérieure qui a pour mission de protéger la population, au cas où elle est menacée par des Bandits et Brigands armés ; l’une de ses missions est d’aller sur le terrain pour mener des investigations à travers les patrouilles régulières dans les quartiers.
Pour le chef du quartier Moustapha, Agri-David Abakar, la paix, la sécurité, la cohésion sociale et le vivre-ensemble sont dangereusement menacés dans le quartier Moustapha et autres.
« L’heure n’est plus à la une, les autorités sont appelées à faire vite car la population de Moustapha en particulier, celle de Bangui et de l’arrière-pays ne peuvent pas circuler librement et vaquer à leurs occupations quotidiennes », a-t-il ajouté.