Le but de cette visite est de passer en revue les chantiers de développement engagés entre la Banque Mondiale et la République Centrafricaine.
Le ministre en charge de l’Economie Numérique, Justin Gourna-Zacko, a rappelé que la Banque Mondiale est un partenaire de la République centrafricaine à travers plusieurs, projets entre autres, le corridor 13, le central solaire de Danzi et les projets de digitalisation.
Le membre du gouvernement a signalé par ailleurs que pour son relèvement économique, la République Centrafricaine, à travers la table-ronde qui sera organisée au Maroc, est ambitieuse de retrouver d’autres partenaires qui pourront le soutenir dans d’autres projets aussi importants.
Le Vice-président de la Banque Mondiale, Ousmane Diagana, a pour sa part, réitéré qu’en dehors du central solaire de Danzi, son institution dispose un programme de développement qui est en train d’être réactualisé et dont la capitale humaine est au centre.
Selon Ousmane Diagana, pour que le développement s’accélère, il faut s’investir fondamentalement sur le numérique et tout dans le cadre de bonne gouvernance.
Il a renouvelé l’engagement de soutenir le Centrafrique dans toutes les initiatives qui vont dans le sens de son développement et de la lutte contre la pauvreté.
Signalons qu’après son rencontre avec la presse, la seconde personnalité de la Banque Mondiale, Ousmane Diagana, a eu des échanges avec les sociétés civiles.
Le ministre en charge de l’Economie Numérique, Justin Gourna-Zacko, a rappelé que la Banque Mondiale est un partenaire de la République centrafricaine à travers plusieurs, projets entre autres, le corridor 13, le central solaire de Danzi et les projets de digitalisation.
Le membre du gouvernement a signalé par ailleurs que pour son relèvement économique, la République Centrafricaine, à travers la table-ronde qui sera organisée au Maroc, est ambitieuse de retrouver d’autres partenaires qui pourront le soutenir dans d’autres projets aussi importants.
Le Vice-président de la Banque Mondiale, Ousmane Diagana, a pour sa part, réitéré qu’en dehors du central solaire de Danzi, son institution dispose un programme de développement qui est en train d’être réactualisé et dont la capitale humaine est au centre.
Selon Ousmane Diagana, pour que le développement s’accélère, il faut s’investir fondamentalement sur le numérique et tout dans le cadre de bonne gouvernance.
Il a renouvelé l’engagement de soutenir le Centrafrique dans toutes les initiatives qui vont dans le sens de son développement et de la lutte contre la pauvreté.
Signalons qu’après son rencontre avec la presse, la seconde personnalité de la Banque Mondiale, Ousmane Diagana, a eu des échanges avec les sociétés civiles.