L’objectif de cette conférence de presse, désormais mensuelle, est de situer l’opinion publique sur les activités réalisées par la représentation en République Centrafricaine.
Patience Ntemgwa a indiqué que jusqu’au 30 juin 2016, la République Centrafricaine a abrité plus de 11.000 réfugiés et plus de 400 demandeurs d’axile, sans compter quelque 400.000 personnes déplacées internes.
Elle a fait savoir qu’à l’issue de la dernière crise qui a secoué le Sud-Soudan, une mission du HCR qui s’est rendue à Bambouti dans la préfecture du Haut Mbomou a déjà dénombré plus de 4.000 personnes dont la moitié est composée de mineurs.
En plus de la protection des réfugiés et des personnes déplacées, qui sont toutes les activités visant à garantir le respect des droits humains selon la lettre et l’esprit du droit applicable, a signalé Patience Ntemgwa, le HCR s’occupe également de l’éducation et de la santé de ces personnes en détresse.
En vue d’une solution durable en faveur des réfugiés, le Chef de la délégation de Bouar, Guisse Magatte, a déclaré que le HCR dispose de trois options qui sont : le rapatriement volontaire sur la base d’une décision informée ; l’intégration locale dans le pays d’asile ou la réinstallation dans un pays tiers.
Pour remplir sa mission, le HCR travaille en partenariat avec le gouvernement par le biais de la Commission Nationale les Réfugiés (CNR) et de certaines ONG nationales et internationales.
Patience Ntemgwa a indiqué que jusqu’au 30 juin 2016, la République Centrafricaine a abrité plus de 11.000 réfugiés et plus de 400 demandeurs d’axile, sans compter quelque 400.000 personnes déplacées internes.
Elle a fait savoir qu’à l’issue de la dernière crise qui a secoué le Sud-Soudan, une mission du HCR qui s’est rendue à Bambouti dans la préfecture du Haut Mbomou a déjà dénombré plus de 4.000 personnes dont la moitié est composée de mineurs.
En plus de la protection des réfugiés et des personnes déplacées, qui sont toutes les activités visant à garantir le respect des droits humains selon la lettre et l’esprit du droit applicable, a signalé Patience Ntemgwa, le HCR s’occupe également de l’éducation et de la santé de ces personnes en détresse.
En vue d’une solution durable en faveur des réfugiés, le Chef de la délégation de Bouar, Guisse Magatte, a déclaré que le HCR dispose de trois options qui sont : le rapatriement volontaire sur la base d’une décision informée ; l’intégration locale dans le pays d’asile ou la réinstallation dans un pays tiers.
Pour remplir sa mission, le HCR travaille en partenariat avec le gouvernement par le biais de la Commission Nationale les Réfugiés (CNR) et de certaines ONG nationales et internationales.