Le but de cette sensibilisation à l’école Lakouanga est de partager les valeurs comme le vivre ensemble et l’ouverture vers l’autre vont contribuer à la construction d’un avenir paisible en Centrafrique.
« Nous avons choisi de faire la sensibilisation auprès des enfants, car ce sont des nouvelles générations qui vont contribuer à façonner l’histoire de ce pays, sa société et son économie », a expliqué M. Abdoulaye Barry, Représentant adjoint du HCR.
Le Représentant adjoint du HCR, Abdoulaye Barry a fait savoir que « le slogan peint sur le mur de l’école raisonnera longtemps dans l’esprit des enfants et des adultes, car nous sommes tous unis, même si nous venons d’horizon divers ».
La chargée de l’information publique, porte parole du HCR (Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés), Dalia Alachi a indiqué que l’ONG Danoise fondée en 1956, a pour mission d’appuyer les refugiés, les déplacées internes ainsi que toutes les communautés affectées dans les conflits.
« Installée en Centrafrique depuis 2007, elle couvre la Capitale Bangui, les préfectures de l’Ouham, l’Ouham-Pendé et la Bamingui Bangoran », a-t-elle conclu.
« Nous avons choisi de faire la sensibilisation auprès des enfants, car ce sont des nouvelles générations qui vont contribuer à façonner l’histoire de ce pays, sa société et son économie », a expliqué M. Abdoulaye Barry, Représentant adjoint du HCR.
Le Représentant adjoint du HCR, Abdoulaye Barry a fait savoir que « le slogan peint sur le mur de l’école raisonnera longtemps dans l’esprit des enfants et des adultes, car nous sommes tous unis, même si nous venons d’horizon divers ».
La chargée de l’information publique, porte parole du HCR (Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés), Dalia Alachi a indiqué que l’ONG Danoise fondée en 1956, a pour mission d’appuyer les refugiés, les déplacées internes ainsi que toutes les communautés affectées dans les conflits.
« Installée en Centrafrique depuis 2007, elle couvre la Capitale Bangui, les préfectures de l’Ouham, l’Ouham-Pendé et la Bamingui Bangoran », a-t-elle conclu.