L’objectif de cette démission est de dénoncer une sorte d’injustice qui prévaut au niveau du conseil d’université et qui a un lien avec la promotion des enseignants.
Le Professeur Koulayom n’est pas d’accord avec le conseil d’Université qui refuse de reconnaître « son diplôme honorifique d’agrégation du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) dans le domaine des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion octroyé en novembre dernier et, partant, son exclusion du corps des professeurs de son pays ».
Toutefois, Henri Koulayom a proposé de saisir le Conseil d’Etat pour faire valoir ses droits et en finir avec ce cycle infernal de « règlement de comptes » qui domine au moment des décisions à l’Université de Bangui.
Pour l’instant, Koulayom a pensé qu’il est libre des contraintes administratives, ce qui l’encourage à se consacrer entièrement à l’enseignement, aux recherches et consultations. Il a promis qu’il se concentrera à la formation de futurs diplômés centrafricains, notamment des doctorants, en vue de renforcer la discipline des Sciences de gestion en Centrafrique ».
Il faut rappeler que le conseil d’université a refusé de statué favorablement sur la requête de Henri Koulayom lors de sa session du 30 juin au 2 juillet 2016.
Le Professeur Koulayom n’est pas d’accord avec le conseil d’Université qui refuse de reconnaître « son diplôme honorifique d’agrégation du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) dans le domaine des Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion octroyé en novembre dernier et, partant, son exclusion du corps des professeurs de son pays ».
Toutefois, Henri Koulayom a proposé de saisir le Conseil d’Etat pour faire valoir ses droits et en finir avec ce cycle infernal de « règlement de comptes » qui domine au moment des décisions à l’Université de Bangui.
Pour l’instant, Koulayom a pensé qu’il est libre des contraintes administratives, ce qui l’encourage à se consacrer entièrement à l’enseignement, aux recherches et consultations. Il a promis qu’il se concentrera à la formation de futurs diplômés centrafricains, notamment des doctorants, en vue de renforcer la discipline des Sciences de gestion en Centrafrique ».
Il faut rappeler que le conseil d’université a refusé de statué favorablement sur la requête de Henri Koulayom lors de sa session du 30 juin au 2 juillet 2016.