
« Nous avons noté avec grand plaisir l’intervention du Chef de l’Etat dans son discours d’investiture du 30 mars dernier, au cours duquel il s’est engagé à abolir la peine de mort pendant son mandat politique », a rappelé Nicolas Perron.
Le Directeur des programmes de l’ECPM a émis le vœu de voir l’engagement du Chef de l’Etat, se traduit en acte par un projet de loi permettant de réformer le code pénal pour supprimer définitivement cette peine de l’arsenal juridique centrafricain qui n’est plus pratiquée.
« Nous travaillons avec les différents partenaires pour voir le calendrier et comment la République Centrafricaine finira par abolir la peine de mort et rejoindre les 146 pays dans le monde qui ne pratiquent plus la peine de mort aujourd’hui », a souligné Nicolas Perron.
Selon lui, la République Centrafricaine n’a plus exécuté depuis 40 ans, n’a plus des condamnés à mort dans les prisons et c’est le moment pour le pays de rejoindre la majorité des pays dans le monde qui ont aboli la peine de mort et les pays d’Afrique centrale qui sont également abolitionnistes.
Il convient de rappeler que la dernière condamnation à mort s’est produite en 1981 par la peine capitale des quelques des officiers supérieurs des forces armées centrafricaines (FACA) qui ont été condamnés pour avoir massacré les élèves et les étudiants sous le régime de l’Empire Centrafricain.
Le Directeur des programmes de l’ECPM a émis le vœu de voir l’engagement du Chef de l’Etat, se traduit en acte par un projet de loi permettant de réformer le code pénal pour supprimer définitivement cette peine de l’arsenal juridique centrafricain qui n’est plus pratiquée.
« Nous travaillons avec les différents partenaires pour voir le calendrier et comment la République Centrafricaine finira par abolir la peine de mort et rejoindre les 146 pays dans le monde qui ne pratiquent plus la peine de mort aujourd’hui », a souligné Nicolas Perron.
Selon lui, la République Centrafricaine n’a plus exécuté depuis 40 ans, n’a plus des condamnés à mort dans les prisons et c’est le moment pour le pays de rejoindre la majorité des pays dans le monde qui ont aboli la peine de mort et les pays d’Afrique centrale qui sont également abolitionnistes.
Il convient de rappeler que la dernière condamnation à mort s’est produite en 1981 par la peine capitale des quelques des officiers supérieurs des forces armées centrafricaines (FACA) qui ont été condamnés pour avoir massacré les élèves et les étudiants sous le régime de l’Empire Centrafricain.