La nomination de M. Firmin Ngrébada intervient trois jours après la démission de son prédécesseur, Simplice-Mathieu Sarandji.
La démission de M. Sarandji et la nomination de M. Ngrébada répondent à la mise en œuvre de l'accord de paix négocié à Khartoum au Soudan, du 24 janvier au 2 février 2019.
Ce même accord prévoit la mise en place d'un "gouvernement inclusif", prévoyant la nomination de quelques représentants des groupes armés.
Inspecteur du Travail et des lois sociales âgé de 51 ans, Firmin Ngrébada est un compagnon de route de longue date de Faustin Archange Touadéra, dont il a été le directeur de cabinet adjoint lorsque le chef de l'Etat occupait le poste de Premier-ministre entre janvier 2008 et janvier 2013.
Pendant la période de transition, qui suivit le renversement du régime du général François Bozizé (24 mars 2013), il dirigera le cabinet du président du Conseil national de transition (CNT), avant d'être appelé à la présidence de la République comme directeur de cabinet après l'investiture du président Faustin Archange Touadéra, le 30 mars 2016.
Sa nomination au poste de Premier-ministre apparaît comme un satisfecit, après l'heureux aboutissement des négociations de Khartoum avec les groupes armés, qui se sont soldées par un accord de paix et de réconciliation signé à Bangui le 6 février dernier.
La démission de M. Sarandji et la nomination de M. Ngrébada répondent à la mise en œuvre de l'accord de paix négocié à Khartoum au Soudan, du 24 janvier au 2 février 2019.
Ce même accord prévoit la mise en place d'un "gouvernement inclusif", prévoyant la nomination de quelques représentants des groupes armés.
Inspecteur du Travail et des lois sociales âgé de 51 ans, Firmin Ngrébada est un compagnon de route de longue date de Faustin Archange Touadéra, dont il a été le directeur de cabinet adjoint lorsque le chef de l'Etat occupait le poste de Premier-ministre entre janvier 2008 et janvier 2013.
Pendant la période de transition, qui suivit le renversement du régime du général François Bozizé (24 mars 2013), il dirigera le cabinet du président du Conseil national de transition (CNT), avant d'être appelé à la présidence de la République comme directeur de cabinet après l'investiture du président Faustin Archange Touadéra, le 30 mars 2016.
Sa nomination au poste de Premier-ministre apparaît comme un satisfecit, après l'heureux aboutissement des négociations de Khartoum avec les groupes armés, qui se sont soldées par un accord de paix et de réconciliation signé à Bangui le 6 février dernier.