Le Président Touadéra se prêtant à l'exercice du planting à Bogangolo
L'objectif de cette célébration est de conscientiser la population à propos des défis se rapportant aux ressources naturelles, notamment la coupe anarchique de bois et la nécessité du planting des jeunes plants.
Le thème de la célébration de la Journée nationale de l’arbre de cette année est : "arbre, source de vie et de richesse", expressément choisi pour attirer l’attention des populations sur l’interdépendance entre les ressources naturelles, les ressources forestières en particulier, et l’homme.
Point n'est besoin de démontrer que la République centrafricaine (RCA), comme certains pays, est exposée au phénomène de la déforestation et de la dégradation de l'écosystème, d'où l'institution, depuis 1984, de la Journée nationale de l'arbre.
Cette année, la sous-préfecture de Bogangolo, qui a accueilli la JNA 2018, couvre une superficie de 14.850 kilomètres carrés, avec une population estimée à plus de 11.000 habitants. Seulement, comme partout en RCA, les activités de l'agriculture, de l'élevage, les feux de brousse, la transhumance non contrôlée et les déboisements anarchiques ont sérieusement modifié l'écosystème de la localité de Bogangolo.
D'après le Président de la République, Faustin-Archange Touadéra, il ne faut pas perdre de vue que la célébration de la JNA s’est développée avec le temps pour devenir l’un des principaux moyens de communication afin de stimuler la conscience environnementale des populations et d’encourager l’action politique nationale.
Pour lui donc, les JNA devront pousser les populations à s’intéresser aux multiples et complexes problèmes liés à la dégradation de l’environnement et de donner aux communautés les possibilités de devenir des acteurs de développement durable par un changement de comportement.
Il a émis le vœu que tout soit mis en œuvre pour que le pays bénéficie de certaines opportunités provenant de la Commission climat du bassin du Congo et son principal outil financier, le Fonds bleu pour le bassin du Congo, la Commission des Forêts d'Afrique centrale (COMIFAC) afin de poursuivre les programmes et projets visant l’exploitation, la gestion durable des ressources naturelles, la conservation de la biodiversité, l’augmentation des stocks de carbone et la promotion du développement d’énergies renouvelables.
Le thème de la célébration de la Journée nationale de l’arbre de cette année est : "arbre, source de vie et de richesse", expressément choisi pour attirer l’attention des populations sur l’interdépendance entre les ressources naturelles, les ressources forestières en particulier, et l’homme.
Point n'est besoin de démontrer que la République centrafricaine (RCA), comme certains pays, est exposée au phénomène de la déforestation et de la dégradation de l'écosystème, d'où l'institution, depuis 1984, de la Journée nationale de l'arbre.
Cette année, la sous-préfecture de Bogangolo, qui a accueilli la JNA 2018, couvre une superficie de 14.850 kilomètres carrés, avec une population estimée à plus de 11.000 habitants. Seulement, comme partout en RCA, les activités de l'agriculture, de l'élevage, les feux de brousse, la transhumance non contrôlée et les déboisements anarchiques ont sérieusement modifié l'écosystème de la localité de Bogangolo.
D'après le Président de la République, Faustin-Archange Touadéra, il ne faut pas perdre de vue que la célébration de la JNA s’est développée avec le temps pour devenir l’un des principaux moyens de communication afin de stimuler la conscience environnementale des populations et d’encourager l’action politique nationale.
Pour lui donc, les JNA devront pousser les populations à s’intéresser aux multiples et complexes problèmes liés à la dégradation de l’environnement et de donner aux communautés les possibilités de devenir des acteurs de développement durable par un changement de comportement.
Il a émis le vœu que tout soit mis en œuvre pour que le pays bénéficie de certaines opportunités provenant de la Commission climat du bassin du Congo et son principal outil financier, le Fonds bleu pour le bassin du Congo, la Commission des Forêts d'Afrique centrale (COMIFAC) afin de poursuivre les programmes et projets visant l’exploitation, la gestion durable des ressources naturelles, la conservation de la biodiversité, l’augmentation des stocks de carbone et la promotion du développement d’énergies renouvelables.