Le Président Faustin Archange Touadéra coupe le ruban symbolique du bâtiment de l'UMIRR
L’objectif consiste à mettre fin aux multiples cas de violences sexuelles faites aux femmes et aux enfants pendant les conflits armés.
C’est aussi une manière pour le gouvernement de promouvoir ce cadre propice et approprié pour la prévention et la répression des infractions relatives aux violences basées sur le genre.
"Aujourd’hui, ce sont les femmes et les enfants qui paient le lourd tribut", a martelé le Président de la République, Faustin Archange Touadera, qui a rappelé que «la RCA est marquée par une succession de crises caractérisées par la montée en puissance des violences faites aux femmes et aux enfants, ce qui a plongé le pays dans une situation complètement difficile, et cela a pris une ampleur considérable par la présence des groupes armés".
«Ce nouveau cadre vient à point nommé répondre aux préoccupations de nos compatriotes sur la question des violences faites aux femmes et aux enfants », a déclaré le Maire de Bangui, Emile Gros Raymond Nakombo, qui a indiqué qu'«environ 60 000 cas de violences faites aux femmes et aux enfants ont été répertoriés en 2014 jusqu’à ce jour».
«Ledit bâtiment réhabilité s’inscrit dans les efforts inlassables du gouvernement centrafricain en partenariat avec le gouvernement Japonais en vue de prendre des mesures juridiques pouvant permettre de faire respecter les droits et libertés fondamentales des victimes, des témoins, de leurs familles ainsi que des présumés auteurs», a souligné, quant à elle, la Représentante Spéciale Adjointe du PNUD, Najat Rochdi.
Pour la Représentante Spécial Adjointe du Secrétaire général des Nations Unies, Diane Corner, « l’UMIRR a une connotation d’urgence afin de faire face aux besoins opérationnels et en cas de nécessité, applique dans sa mission et ses fonctions les procédures opérationnelles sur la conduite des autres principes et doctrines généralement acceptés dans le domaine des limites et compétences ».
Il faut préciser que la cérémonie a été marquée par la remise de 3 motocyclettes et 2 véhicules, pour un montant de 635 000 dollars américains.
C’est aussi une manière pour le gouvernement de promouvoir ce cadre propice et approprié pour la prévention et la répression des infractions relatives aux violences basées sur le genre.
"Aujourd’hui, ce sont les femmes et les enfants qui paient le lourd tribut", a martelé le Président de la République, Faustin Archange Touadera, qui a rappelé que «la RCA est marquée par une succession de crises caractérisées par la montée en puissance des violences faites aux femmes et aux enfants, ce qui a plongé le pays dans une situation complètement difficile, et cela a pris une ampleur considérable par la présence des groupes armés".
«Ce nouveau cadre vient à point nommé répondre aux préoccupations de nos compatriotes sur la question des violences faites aux femmes et aux enfants », a déclaré le Maire de Bangui, Emile Gros Raymond Nakombo, qui a indiqué qu'«environ 60 000 cas de violences faites aux femmes et aux enfants ont été répertoriés en 2014 jusqu’à ce jour».
«Ledit bâtiment réhabilité s’inscrit dans les efforts inlassables du gouvernement centrafricain en partenariat avec le gouvernement Japonais en vue de prendre des mesures juridiques pouvant permettre de faire respecter les droits et libertés fondamentales des victimes, des témoins, de leurs familles ainsi que des présumés auteurs», a souligné, quant à elle, la Représentante Spéciale Adjointe du PNUD, Najat Rochdi.
Pour la Représentante Spécial Adjointe du Secrétaire général des Nations Unies, Diane Corner, « l’UMIRR a une connotation d’urgence afin de faire face aux besoins opérationnels et en cas de nécessité, applique dans sa mission et ses fonctions les procédures opérationnelles sur la conduite des autres principes et doctrines généralement acceptés dans le domaine des limites et compétences ».
Il faut préciser que la cérémonie a été marquée par la remise de 3 motocyclettes et 2 véhicules, pour un montant de 635 000 dollars américains.