Le comité stratégique d’appui au processus électoral est composé des cadres interministériels concernés pouvant mobiliser des partenaires internationaux autour du gouvernement en vue de mutualiser les efforts en faveur de la réussite du processus électoral.
Le chef du gouvernement a indiqué que le comité stratégique d’appui au processus électoral est un dispositif qui permet au gouvernement et aux partenaires de Centrafrique d’étudier tous les problèmes qui peuvent donc apparaître dans le processus électoral, et dans un élan de solidarité voir comment trouver des solutions.
« C’est un cadre qui permet au gouvernement de suivre le processus électoral et de garantir le respect du chronogramme, de faire en sorte que les moyens à mettre à la disposition de l’ANE soient disponibles pour que le chronogramme et le délai constitutionnel soient tenus », a ajouté Firmin Ngrébada.
Il a réitéré que c’est un instrument au service de l’ANE. Par ailleurs, la participation des membres issus des partenaires de la communauté internationale au sein dudit comité constitue une garantie supplémentaire de la transparence requise en utilisation de ressources mobilisées en faveur du processus électoral.
Le premier ministre Firmin Ngrébada a fait savoir que ledit comité stratégique n’a pas vocation à se substituer à l’ANE qui reste et demeure l’institution chargée de la préparation, de l’organisation, de la supervision des élections générales et des consultations référendaires.
Il est à rappeler que le comité stratégique d’appui au processus électoral a été mis en place par arrêté en date du 18 novembre 2019, et a pour mission d’assurer le suivi régulier de chaque étape du processus, de veiller à la bonne exécution du chronogramme électoral et d’apporter en temps réel l’appui nécessaire en cas de difficultés rencontrées par l’ANE.
Le chef du gouvernement a indiqué que le comité stratégique d’appui au processus électoral est un dispositif qui permet au gouvernement et aux partenaires de Centrafrique d’étudier tous les problèmes qui peuvent donc apparaître dans le processus électoral, et dans un élan de solidarité voir comment trouver des solutions.
« C’est un cadre qui permet au gouvernement de suivre le processus électoral et de garantir le respect du chronogramme, de faire en sorte que les moyens à mettre à la disposition de l’ANE soient disponibles pour que le chronogramme et le délai constitutionnel soient tenus », a ajouté Firmin Ngrébada.
Il a réitéré que c’est un instrument au service de l’ANE. Par ailleurs, la participation des membres issus des partenaires de la communauté internationale au sein dudit comité constitue une garantie supplémentaire de la transparence requise en utilisation de ressources mobilisées en faveur du processus électoral.
Le premier ministre Firmin Ngrébada a fait savoir que ledit comité stratégique n’a pas vocation à se substituer à l’ANE qui reste et demeure l’institution chargée de la préparation, de l’organisation, de la supervision des élections générales et des consultations référendaires.
Il est à rappeler que le comité stratégique d’appui au processus électoral a été mis en place par arrêté en date du 18 novembre 2019, et a pour mission d’assurer le suivi régulier de chaque étape du processus, de veiller à la bonne exécution du chronogramme électoral et d’apporter en temps réel l’appui nécessaire en cas de difficultés rencontrées par l’ANE.