Le Premier-ministre Firmin Ngrébada a déclaré que son gouvernement, sous l’autorité du président de la République, "n’a jamais eu et n’aura jamais la mauvaise idée de restreindre d’une manière ou d’une autre les libertés publiques, surtout que celles-ci sont constitutionnelles".
Le Chef du gouvernement a souligné que ce n’est donc pas sans raison fondée ou avec une quelconque intention malveillante que le gouvernement a interdit les meetings programmés dans la capitale en juin dernier.
« Le gouvernement s’est appuyé sur plusieurs informations dignes de foi et bien recoupées, lesquelles faisaient état d’un risque sérieux, des graves incidents planifiés non pas par la plateforme, mais par des personnes malintentionnées », a-t-il expliqué.
Firmin Ngrébada a souligné que "la conception démocratique impose de maintenir et d’entretenir le dialogue fréquent avec l’ensemble des acteurs de la vie nationale, notamment les partis politiques et la société civile car nul n’a le droit d’étouffer les libertés publiques".
« Le gouvernement doit avoir un rôle positif qui est celui de créer les conditions suffisantes pour l’épanouissement de la minorité de l’opposition et de la société civile », a fait savoir le Premier-ministre.
Il a invité les membres de la plateforme « E Zingo Biani » à partager avec lui l’idée selon laquelle le gouvernement, l’opposition et la société civile ne sont pas des adversaires mais plutôt des partenaires compréhensifs, avec un code de bonne conduite caractérisé par la tolérance.
Le Chef du gouvernement a par ailleurs émis le vœu que les partis politiques et la société civile mettent à la disposition du gouvernement des propositions et suggestions, lesquelles peuvent se révéler intéressantes et permettant au gouvernement de réajuster ou recadrer ses actions aux fins d’une meilleure satisfaction des besoins des populations.
Il convient de rappeler que la plateforme a programmé des meetings hebdomadaires dits d’éveil des consciences et de sursaut patriotique, les samedis 15, 22 et 29 juin derniers à Bangui, que le gouvernement n’a pas autorisés.
Les promoteurs d'"E Zingo Biani" entendaient protester entre autres contre l'intégration de représentants de groupes armés dans l'équipe du Premier-ministre Firmin Ngrébada mise en place au lendemain de l'accord de paix du 6 février dernier, lequel prévoit la formation d'une "gouvernement inclusif".
Le Chef du gouvernement a souligné que ce n’est donc pas sans raison fondée ou avec une quelconque intention malveillante que le gouvernement a interdit les meetings programmés dans la capitale en juin dernier.
« Le gouvernement s’est appuyé sur plusieurs informations dignes de foi et bien recoupées, lesquelles faisaient état d’un risque sérieux, des graves incidents planifiés non pas par la plateforme, mais par des personnes malintentionnées », a-t-il expliqué.
Firmin Ngrébada a souligné que "la conception démocratique impose de maintenir et d’entretenir le dialogue fréquent avec l’ensemble des acteurs de la vie nationale, notamment les partis politiques et la société civile car nul n’a le droit d’étouffer les libertés publiques".
« Le gouvernement doit avoir un rôle positif qui est celui de créer les conditions suffisantes pour l’épanouissement de la minorité de l’opposition et de la société civile », a fait savoir le Premier-ministre.
Il a invité les membres de la plateforme « E Zingo Biani » à partager avec lui l’idée selon laquelle le gouvernement, l’opposition et la société civile ne sont pas des adversaires mais plutôt des partenaires compréhensifs, avec un code de bonne conduite caractérisé par la tolérance.
Le Chef du gouvernement a par ailleurs émis le vœu que les partis politiques et la société civile mettent à la disposition du gouvernement des propositions et suggestions, lesquelles peuvent se révéler intéressantes et permettant au gouvernement de réajuster ou recadrer ses actions aux fins d’une meilleure satisfaction des besoins des populations.
Il convient de rappeler que la plateforme a programmé des meetings hebdomadaires dits d’éveil des consciences et de sursaut patriotique, les samedis 15, 22 et 29 juin derniers à Bangui, que le gouvernement n’a pas autorisés.
Les promoteurs d'"E Zingo Biani" entendaient protester entre autres contre l'intégration de représentants de groupes armés dans l'équipe du Premier-ministre Firmin Ngrébada mise en place au lendemain de l'accord de paix du 6 février dernier, lequel prévoit la formation d'une "gouvernement inclusif".