Le Ministre d’Etat et son hôte ont saisi cette opportunité pour passer en revue tous les éléments de partenariat et de coopération possible, surtout à titre bilatéral pour renforcer la justice centrafricaine.
Le diplomate français a évoqué notamment l’accord de coopération entre l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) de Paris et l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM) de Bangui, tout en insistant sur les aspects de renforcement de capacités par la formation des magistrats ou des autres acteurs de la Justice.
L’Ambassadeur, Jean-Marc Grosgurin a rappelé au Ministre d’Etat, combien la Justice est importante en République Centrafricaine, car, selon lui, « une bonne justice, est un élément indissociable au retour de la stabilité, de la paix, de la cohésion nationale ».
« J’ai apporté au ministre le soutien de la France pour relever ce défi ensemble », a exprimé Jean-Marc Grosgurin.
Selon le Représentant français en Centrafrique, les collaborateurs de l’Ambassade vont rencontrer les partenaires du ministère de la Justice, pour mettre au point une feuille de route avec les priorités, afin d’avoir une coopération qui répond aux besoins que le chef dudit département exprimera pour être le plus adapté.
Le diplomate français a évoqué notamment l’accord de coopération entre l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) de Paris et l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM) de Bangui, tout en insistant sur les aspects de renforcement de capacités par la formation des magistrats ou des autres acteurs de la Justice.
L’Ambassadeur, Jean-Marc Grosgurin a rappelé au Ministre d’Etat, combien la Justice est importante en République Centrafricaine, car, selon lui, « une bonne justice, est un élément indissociable au retour de la stabilité, de la paix, de la cohésion nationale ».
« J’ai apporté au ministre le soutien de la France pour relever ce défi ensemble », a exprimé Jean-Marc Grosgurin.
Selon le Représentant français en Centrafrique, les collaborateurs de l’Ambassade vont rencontrer les partenaires du ministère de la Justice, pour mettre au point une feuille de route avec les priorités, afin d’avoir une coopération qui répond aux besoins que le chef dudit département exprimera pour être le plus adapté.