Le but du périple qui a amené le ministre de l’Administration du Territoire et une forte délégation d’experts de son département, ceux du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et du Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique (BINUCA) au Bénin, au Sénégal, au Québec Canada, au Ghana et au Cameroun est de s’inspirer des modèles existants en matière électorale dans ces pays.
Josué Binoua a déclaré qu’à la suite des élections de 2011, le gouvernement avait tiré les leçons qui s’imposaient. Raison pour laquelle, il entend mettre en place une institution pérenne chargée des élections. Cette institution se chargera désormais des questions électorales, dont entre autres, le découpage électoral, les listes électorales, la logistique, de l’organisation matérielle et technique de ces consultations, le dépouillement, la proclamation, etc.
Les pays choisis, selon le Ministre de l’Administration du Territoire, ont une tradition électorale. Pour certains, c’est suite aux crises militaro-politiques, c’est le cas du Bénin. Pour d’autres, la tradition est acquise. C’est le cas du Sénégal dont quatre communes ont développé la pratique électorale depuis 1848 et que les cartes d’électeurs sont biométriques.
Quant au Québec, le Ministre a fait savoir que ce pays a mis en place depuis de longue date une structure pérenne chargée spécialement des élections. Et c’est dans ce pays que la République Centrafricaine a été désigné membre du Réseau des Compétences Electorales Francophones.
Au regard des connaissances acquises, le Ministre Binoua a projeté la création prochaine d’une institution chargée exclusivement de la préparation, du déroulement et de la proclamation des élections.
Josué Binoua a déclaré qu’à la suite des élections de 2011, le gouvernement avait tiré les leçons qui s’imposaient. Raison pour laquelle, il entend mettre en place une institution pérenne chargée des élections. Cette institution se chargera désormais des questions électorales, dont entre autres, le découpage électoral, les listes électorales, la logistique, de l’organisation matérielle et technique de ces consultations, le dépouillement, la proclamation, etc.
Les pays choisis, selon le Ministre de l’Administration du Territoire, ont une tradition électorale. Pour certains, c’est suite aux crises militaro-politiques, c’est le cas du Bénin. Pour d’autres, la tradition est acquise. C’est le cas du Sénégal dont quatre communes ont développé la pratique électorale depuis 1848 et que les cartes d’électeurs sont biométriques.
Quant au Québec, le Ministre a fait savoir que ce pays a mis en place depuis de longue date une structure pérenne chargée spécialement des élections. Et c’est dans ce pays que la République Centrafricaine a été désigné membre du Réseau des Compétences Electorales Francophones.
Au regard des connaissances acquises, le Ministre Binoua a projeté la création prochaine d’une institution chargée exclusivement de la préparation, du déroulement et de la proclamation des élections.