L’objectif de cette causerie-débat est d’échanger avec le personnel féminin du Ministère de la Défense nationale sur le thème de la Journée internationale de la femme de cette année intitulé : « Planète 50-50 d’ici 2030, franchissons le pas pour l’égalité des sexes » et le thème national : « Hommes et femmes, reconstruisons la RCA ».
Le Ministre Pierre-Chrysostome Sambia a rappelé cette maxime qui dit que « vouloir, c’est pourvoir » pour démontrer que d’ici 2030, le temps est à la fois peu et beaucoup pour parvenir à attendre 50 hommes et 50 femmes dans tous les domaines.
Selon lui, la paix et la stabilité forment le fondement pour parvenir à cet objectif de parité entre les hommes et les femmes. Le reste, a-t-il poursuivi, « dépendra de la volonté des Centrafricains quant à l’avenir de leur pays ».
Le Directeur de cabinet du Ministère des Affaires sociales, Antoine Mbanga, a estimé pour sa part « qu’il faut nécessairement libérer les femmes de multiples entraves qui les empêchent de s’émanciper ».
Il a décrié les pesanteurs socioculturelles provenant des cultures, coutumes et croyances qui placent les femmes en-dessous des hommes et a précisé que « l’égalité des sexes signifie tout simplement la complémentarité entre l’homme et la femme au moment de l’œuvre de développement d’ici 2030 ».
En répondant aux nombreuses préoccupations des participants, Antoine Mbanga s’est référé aux nombreux traités et conventions auxquels la République Centrafricaine a adhéré, en les ratifiant et qui n’ont pas changé grand-chose dans la vie des femmes.
Il a préconisé la révision des stratégies susceptibles de mettre côte à côte les hommes et les femmes qui doivent faire front commun en fonction de leur compétence dans l’œuvre de développement.
La présidente du comité d’organisation de cette causerie-débat, Ghislaine-Léa Yangongo, a invité les participants à s’approprier les thématiques développées en vue d’un changement des mentalités et de au sein des Forces Armées Centrafricaines (FACA).
Il convient de noter que le personnel féminin du Ministère de la Défense Nationale a organisé la veille de cette causerie-débat une marche allant du rond-point Abel Goumba à la hauteur du Commissariat du 5ème Arrondissement de Bangui au (à quel endroit), sans compter bien d’autres manifestations culturelles prévues dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme instituée depuis 1977.
Le Ministre Pierre-Chrysostome Sambia a rappelé cette maxime qui dit que « vouloir, c’est pourvoir » pour démontrer que d’ici 2030, le temps est à la fois peu et beaucoup pour parvenir à attendre 50 hommes et 50 femmes dans tous les domaines.
Selon lui, la paix et la stabilité forment le fondement pour parvenir à cet objectif de parité entre les hommes et les femmes. Le reste, a-t-il poursuivi, « dépendra de la volonté des Centrafricains quant à l’avenir de leur pays ».
Le Directeur de cabinet du Ministère des Affaires sociales, Antoine Mbanga, a estimé pour sa part « qu’il faut nécessairement libérer les femmes de multiples entraves qui les empêchent de s’émanciper ».
Il a décrié les pesanteurs socioculturelles provenant des cultures, coutumes et croyances qui placent les femmes en-dessous des hommes et a précisé que « l’égalité des sexes signifie tout simplement la complémentarité entre l’homme et la femme au moment de l’œuvre de développement d’ici 2030 ».
En répondant aux nombreuses préoccupations des participants, Antoine Mbanga s’est référé aux nombreux traités et conventions auxquels la République Centrafricaine a adhéré, en les ratifiant et qui n’ont pas changé grand-chose dans la vie des femmes.
Il a préconisé la révision des stratégies susceptibles de mettre côte à côte les hommes et les femmes qui doivent faire front commun en fonction de leur compétence dans l’œuvre de développement.
La présidente du comité d’organisation de cette causerie-débat, Ghislaine-Léa Yangongo, a invité les participants à s’approprier les thématiques développées en vue d’un changement des mentalités et de au sein des Forces Armées Centrafricaines (FACA).
Il convient de noter que le personnel féminin du Ministère de la Défense Nationale a organisé la veille de cette causerie-débat une marche allant du rond-point Abel Goumba à la hauteur du Commissariat du 5ème Arrondissement de Bangui au (à quel endroit), sans compter bien d’autres manifestations culturelles prévues dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme instituée depuis 1977.
