Photo de famille des délégués
Le monitoring des médias est un exercice qui consiste à parcourir les articles de presse et écouter les journaux parlés des médias ciblés afin de relever les incohérences dans les colonnes.
Mme Jocelyne Acko a expliqué qu'au mois d’avril 2019 dernier, les productions de la télévision centrafricaine, des radios émettant à Bangui et de dix journaux paraissant quotidiennement ont fait l’objet d’étude et de suivi systématique.
« Les informations véhiculées par les médias surveillés restent déséquilibrées, lacunaires et mal documentées et les pages sont plus consacrées aux diverses annonces, aux actualités politiques et humanitaires tant au niveau national qu’international », a-t-elle déploré.
L’analyste du HCC a fait savoir que les organes de presse se désintéressent des actions gouvernementales, des thématiques sur les violences basées sur le genre, de l’agriculture et de l’élevage, de la santé et du VIH/sida, de l’eau et de environnement ainsi que des arts et de la culture.
« Les incitations à la haine, les injures publiques, les accusations sans preuves et l’absence de rigueur, signe d’amateurisme, font état de persistance dans les productions des journaux analysés », a-t-elle souligné.
Rappelons que, le Haut Conseil de la Communication(HCC) s’est engagé au début de l’année 2019, à renforcer les capacités de son service de monitoring des médias dont le dernier rapport a été présenté le 2 avril dernier sur la problématique de l’eau potable.
Mme Jocelyne Acko a expliqué qu'au mois d’avril 2019 dernier, les productions de la télévision centrafricaine, des radios émettant à Bangui et de dix journaux paraissant quotidiennement ont fait l’objet d’étude et de suivi systématique.
« Les informations véhiculées par les médias surveillés restent déséquilibrées, lacunaires et mal documentées et les pages sont plus consacrées aux diverses annonces, aux actualités politiques et humanitaires tant au niveau national qu’international », a-t-elle déploré.
L’analyste du HCC a fait savoir que les organes de presse se désintéressent des actions gouvernementales, des thématiques sur les violences basées sur le genre, de l’agriculture et de l’élevage, de la santé et du VIH/sida, de l’eau et de environnement ainsi que des arts et de la culture.
« Les incitations à la haine, les injures publiques, les accusations sans preuves et l’absence de rigueur, signe d’amateurisme, font état de persistance dans les productions des journaux analysés », a-t-elle souligné.
Rappelons que, le Haut Conseil de la Communication(HCC) s’est engagé au début de l’année 2019, à renforcer les capacités de son service de monitoring des médias dont le dernier rapport a été présenté le 2 avril dernier sur la problématique de l’eau potable.