Devant l’escalade de la violence à Bangui et dans l’arrière-pays ces derniers temps, les deux Commandants en chef de la MISCA et de l’opération Sangaris ont décidé de mettre en application les termes de la résolution 21/34 du Conseil de Sécurité pour régler la question de sécurité en Centrafrique.
Pour la pacification du pays, le Général Martin Touméta Chomu a indiqué que la MISCA a déployé les bataillons dans cinq zones du pays à savoir la zone Ouest placée sous contrôle du contingent camerounais, la zone Nord allouée au contingent tchadien, la zone Est confiée au contingent congolais de Brazzaville, la zone du Sud-Est au contingent de la République Démocratique du Congo (RDC) et enfin la zone du Centre au contingent Gabonais.
Le Général Francisco Soriano, de l’opération Sangaris a précisé que la mission des troupes placées sous son commandement est de rétablir la sécurité dans la ville de Bangui en général ainsi que d’autres villes de provinces appuyées par la MISCA qui est entrain de monter en puissance.
Par-ailleurs, l’Archevêque de Bangui Dieudonné Nzapalaïnga a fait savoir pour la énième fois à la presse et à l’opinion nationale et internationale que les anti-Balaka ne sont pas des milices chrétiennes.
Pour la pacification du pays, le Général Martin Touméta Chomu a indiqué que la MISCA a déployé les bataillons dans cinq zones du pays à savoir la zone Ouest placée sous contrôle du contingent camerounais, la zone Nord allouée au contingent tchadien, la zone Est confiée au contingent congolais de Brazzaville, la zone du Sud-Est au contingent de la République Démocratique du Congo (RDC) et enfin la zone du Centre au contingent Gabonais.
Le Général Francisco Soriano, de l’opération Sangaris a précisé que la mission des troupes placées sous son commandement est de rétablir la sécurité dans la ville de Bangui en général ainsi que d’autres villes de provinces appuyées par la MISCA qui est entrain de monter en puissance.
Par-ailleurs, l’Archevêque de Bangui Dieudonné Nzapalaïnga a fait savoir pour la énième fois à la presse et à l’opinion nationale et internationale que les anti-Balaka ne sont pas des milices chrétiennes.