Cette rencontre a permis au responsable du FMI d’échanger avec les professionnels des médias sur deux sujets à savoir, l’évolution des relations entre la République Centrafricaine et le FMI ensuite les initiatives prises par l’institution financière pour soutenir le pays en vue de faire face à la pandémie du COVID-19 et aux autres défis qui se posent.
Concernant le programme de référence, Victor Davies a précisé que ledit programme va soutenir les autorités centrafricaines à faire face aux défis économiques causés par la crise sécuritaire et la pandémie du COVOD-19. Sa mise en œuvre doit permettre la reprise des discussions dans le cadre d’un programme soutenu par la facilité élargie des crédits (FEC) à la mi-2022.
« Le programme de référence soutiendra également le programme de réformes structurelles du gouvernement, visant à renforcer la gestion et la transparence des finances publiques, à accroitre la mobilisation des recettes intérieures, et à améliorer la gouvernance », a poursuivi le représentant du FMI.
Victor Davies a souligné que la priorité principale des autorités est de favoriser la reprise économique à la suite de la crise sécuritaire et de la pandémie. Cela requiert d’accélérer les initiatives en cours visant à restaurer la paix, à financer de manière viable les dépenses publiques prioritaires et à déployer des réformes qui améliorent la gestion et la transparence des finances publiques, y compris à travers de la lutte contre la corruption.
Selon lui, à l’exemple de droits de tirages spéciaux, sur l’initiative globale prise par le fonds monétaire international, la République Centrafricaine a bénéficié de 80 milliards F.CFA dans le cadre de la lutte contre le COVID-19.
Il convient de noter que les programmes de référence sont des accords informels entre les autorités nationales d’un pays et les services du Fonds Monétaire International pour le suivi du programme économique des autorités.
Concernant le programme de référence, Victor Davies a précisé que ledit programme va soutenir les autorités centrafricaines à faire face aux défis économiques causés par la crise sécuritaire et la pandémie du COVOD-19. Sa mise en œuvre doit permettre la reprise des discussions dans le cadre d’un programme soutenu par la facilité élargie des crédits (FEC) à la mi-2022.
« Le programme de référence soutiendra également le programme de réformes structurelles du gouvernement, visant à renforcer la gestion et la transparence des finances publiques, à accroitre la mobilisation des recettes intérieures, et à améliorer la gouvernance », a poursuivi le représentant du FMI.
Victor Davies a souligné que la priorité principale des autorités est de favoriser la reprise économique à la suite de la crise sécuritaire et de la pandémie. Cela requiert d’accélérer les initiatives en cours visant à restaurer la paix, à financer de manière viable les dépenses publiques prioritaires et à déployer des réformes qui améliorent la gestion et la transparence des finances publiques, y compris à travers de la lutte contre la corruption.
Selon lui, à l’exemple de droits de tirages spéciaux, sur l’initiative globale prise par le fonds monétaire international, la République Centrafricaine a bénéficié de 80 milliards F.CFA dans le cadre de la lutte contre le COVID-19.
Il convient de noter que les programmes de référence sont des accords informels entre les autorités nationales d’un pays et les services du Fonds Monétaire International pour le suivi du programme économique des autorités.