La caisse de Bimbo qui compte pour l’heure 600 sociétaires, 25 millions de francs CFA de dépôts et 31 millions de francs CFA de crédit, a pour objectif de répondre aux besoins urgents de la population en matière de services financiers de proximité.
D’après la Présidente de Fédération du Crédit Mutuel de Centrafrique, Mme Julienne Fiolenga, le CMCA est un établissement de microfinance de première catégorie, reconnu par le règlement N001/02/CEMAC/UMAC/COBAC du 13 avril 2012 et agréé par Arrêté n°042/MFB/DIRCAB/CMF du 14 avril 2006 du Ministère des Financest et du Budget. Il s’est établi sur le territoire national en décembre 1993, avec l’engagement fondamental d’offrir les services financiers de proximité à la population pauvre.
Son réseau comprend aujourd’hui douze points de vente dans la ville de Bangui et ses périphéries, y compris celui de Bimbo.
A ce jour, le nombre des sociétaires du Crédit Mutuel de Centrafrique s’élève à plus de 45.000. L’institution dispose d’un encours de dépôt d’à peine cinq milliards de francs CFA et un encours de crédit d’environ deux milliards de francs CFA.
En matière d’emploi, le Crédit Mutuel de Centrafrique a offert du travail à quelque 86 salariés et 65 élus, dont deux salariés à temps plein de la caisse de Bimbo, qui participent aux décisions stratégiques avec la direction générale.
Les partenaires du Crédit Mutuel de Centrafrique sont : l’Agence Française de Développement (AFD), l’Union Européenne, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et la Société Financière Internationale (SFI).
Comme l’a fait remarquer le Ministre de l’Economie sociale et de la Microfinance, l’inauguration de la caisse de Bimbo est intervenue dans un contexte particulièrement difficile pour l’économie nationale, dominé par « l’insécurité, les pillages, les braquages et les destructions des biens ». Les agences provinciales de microfinance ont été très touchées dans de nombreuses localités des provinces et Bangui. Ce qui a fait baisser « le niveau d’activités des établissements de microfinance au cours du premier semestre de 2013 alors que les charges incompressibles sont demeurées.
C’est pourquoi, pour y donner un coup de pouce, M. Mathieu Ngoubou a préconisé que « des mesures d’accompagnement soient prises par le gouvernement de Transition, à travers le Programme d’Urgence de la Transition ».
D’après la Présidente de Fédération du Crédit Mutuel de Centrafrique, Mme Julienne Fiolenga, le CMCA est un établissement de microfinance de première catégorie, reconnu par le règlement N001/02/CEMAC/UMAC/COBAC du 13 avril 2012 et agréé par Arrêté n°042/MFB/DIRCAB/CMF du 14 avril 2006 du Ministère des Financest et du Budget. Il s’est établi sur le territoire national en décembre 1993, avec l’engagement fondamental d’offrir les services financiers de proximité à la population pauvre.
Son réseau comprend aujourd’hui douze points de vente dans la ville de Bangui et ses périphéries, y compris celui de Bimbo.
A ce jour, le nombre des sociétaires du Crédit Mutuel de Centrafrique s’élève à plus de 45.000. L’institution dispose d’un encours de dépôt d’à peine cinq milliards de francs CFA et un encours de crédit d’environ deux milliards de francs CFA.
En matière d’emploi, le Crédit Mutuel de Centrafrique a offert du travail à quelque 86 salariés et 65 élus, dont deux salariés à temps plein de la caisse de Bimbo, qui participent aux décisions stratégiques avec la direction générale.
Les partenaires du Crédit Mutuel de Centrafrique sont : l’Agence Française de Développement (AFD), l’Union Européenne, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et la Société Financière Internationale (SFI).
Comme l’a fait remarquer le Ministre de l’Economie sociale et de la Microfinance, l’inauguration de la caisse de Bimbo est intervenue dans un contexte particulièrement difficile pour l’économie nationale, dominé par « l’insécurité, les pillages, les braquages et les destructions des biens ». Les agences provinciales de microfinance ont été très touchées dans de nombreuses localités des provinces et Bangui. Ce qui a fait baisser « le niveau d’activités des établissements de microfinance au cours du premier semestre de 2013 alors que les charges incompressibles sont demeurées.
C’est pourquoi, pour y donner un coup de pouce, M. Mathieu Ngoubou a préconisé que « des mesures d’accompagnement soient prises par le gouvernement de Transition, à travers le Programme d’Urgence de la Transition ».